Petit aperçu de la situation de la chaine:
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Les Crocs étaient une chaine de montagne bordant sur
quelques kilomètres le sud-ouest des Terres du Nord. Avant l’an 196 ces monts
n’étaient pas habités, par chance pour les habitants des vallées profondes. On
prétendait que jadis un esprit avait construit son sanctuaire dans les hauteurs
des montagnes, personne n’avait osé grimper jusqu’au sommet pour en vérifier
l’existence.
Mais un jour un homme entama l’ascension, un cavalier
solitaire d’après les rumeurs qui circulaient dans les trois pauvres villes présentes
dans les Monts Brumeux, suivit de prêt par les troupes du Second Empire, un
aller, un retour des forces armées, les habitants classèrent l’affaire. Le
déserteur était mort, leurs champs intacts, les monts n’étaient pas tombés sur
leur tête, tout aller pour le mieux pour les paysans de la Chaine des Crocs.
C’est en l’an 196 que tout bascula. Les Crocs furent
ébranlés par une créature des plus cruelle. Elle déversa sur les trois villes
sa rage et sa haine sous forme d’humains et d’orcs ayant pour consigne de
récupérer des esclaves de bonne qualité. Ainsi naquit une contrée ravagée par
la colère et l’acier.
Les Crocs devinrent vite une zone dangereuse. Les points
d’accès aux vallées, au nombre de trois, furent bloqués par les hordes de la
créature, réduisant les caravanes en esclavage, bloquant les contre offensive
de quelques paysans du coin. La construction des Crocs avaient commencé.
La géographie des lieux vu des cieux montraient un anneau
montagneux avec en son centre une ligne de pics enneigé où un fleuve serpentait
dans un premier temps des pics vers le nord, puis contournait ces même pics par
l’ouest puis le sud pour finir à l’est dans les Terres du Nord.
La grotte qui servait d’entrée par le sud fut fortifié,
formant un goulot d’étranglement menant à une porte de pierre et d’acier,
bardée de rune obtenu sous la torture de quelque faible esprit de mage. Des
coursives s’étiraient tout du long du goulot laissant aux défenseurs le libre
choix de la façon de tué les assaillants, flèches, pierres, huile bouillante,
urine acide d’orcs et autres. L’entrée prit le nom du Goulot du Mort en raison
du nombre de cadavre entassés sur les rebords du tunnel. Le Goulot du Mort
abritait, encaissée dans la vallée d’Arne, la ville du Corbeau, en hommage au
commandant de la garnison. L’humain responsable de la défense de la vallée,
trainait toujours avec lui ses deux corbeaux. Empestant la fiente d’oiseaux, il
s’imposa en maitre de part son physique impressionnant, on murmurait même qu’il
était demi-humain demi-géant. Vêtu d’une armure de plaque noire et cabossée, le
commandant gouvernait cette partie des Crocs avec une main d’acier gantée
d’acier. Bien que le Corbeau exercé une écrasante domination sur la vallée
d’Arne, elle n’en demeuré pas moins l’une des plus fertiles, fournissant à la Créature
des Crocs, un système économique performant malgré les caprices de la Nature. La
nourriture se récoltait à foison dans les immenses champs, les forêts
regorgeaient d’animaux en tout genre. Majoritairement peuplé par des humains,
le pays d’Arne affichait un décor bucolique aux doux chants d’oiseaux à
l’opposé de la vallée d’Elvéana.
Situé à l’est des Crocs, ces territoires furent les plus
ravagés par la Créature. On y retrouvait la folie des Orcs sur les champs de
batailles, des étendues de sang et d’ossement qui jonchaient les bords du
fleuve. Une muraille fut érigé sous les ordres d’Orok, commandant des légions
de la vallée d’Elvéana, bloquant l’entrée Est du domaine des Crocs. Les
quelques descriptions parvenu aux oreilles des habitants de l’extérieur ne
donnait guerre envie de visité cette vallée. Paysage massacré par la guerre,
rougi par le sang, brulé par le feu, envahit d’Orcs et de quelques humains,
Elvéana, malgré son doux nom surement d’origine elfique, était devenu une terre
de désolation. Le centre névralgique de la vallée fut implanté dans l’ancienne
ville marchande d’Ystria, fief actuel du commandant Orok.
Le Mur de Glace, visible à des kilomètres à la ronde au
Nord, encastré entre les deux bords de la vallée du Givre, se fut surement
l’œuvre la plus démente que la Créature ordonna de construire à ses esclaves. La
construction du Mur n’était pas encore achevée mais il culminait déjà à une
hauteur d’une centaine de mètre et assurait à présent son rôle principal,
bloqué le froid intense qui descendait des terres du Nord. Le chaud montant des
Crocs et des trois autres vallées se heurtait au froid créant sur le Mur de
Glace des orages dignes de l’Apocalypse. Les conditions de travails étaient des
plus affreuses pour les esclaves. N’ayant pas d’autre choix que de monter des
blocs de granits à des hauteurs vertigineuses, ces hommes et ces femmes
travaillaient sans relâche de peur d’être présenté devant la Mante. Cette
dernière, haute de trois mètres était une créature constamment voilée, ne
montrant que ses pinces recouverte de plaque d’acier que pour décapité les
récalcitrant, était responsable de la Vallée du Givre. Fidèle servante de la
Créature, elle bâtit sur les ruines de la troisième ville humaine son nid. Pondant
ses œufs dans ses moments perdus elle assurait la défense d’un des points
importants des Crocs. C’était sur son territoire que se déversait les eaux
claires du Néra, unique fleuve des chaines des Crocs.
Serpentant dans un premier temps dans la vallée du Givre le
fleuve se jetait dans la vallée d’Arne pour en irriguer les cultures puis se
teinté de pourpre lorsqu’il coulait dans la vallée d’Elvéana pour finir en
dehors de la chaine des Crocs. Prenant sa source sur les plus hauts monts de la
chaine, il passait dans un premier temps dans les entrailles du pic d’Yrissia,
principal sommet des Crocs, Citadelle de la Créature.
La chaine des Crocs présentait un avantage stratégique sans
précédant pour ceux sachant l’exploiter. Malgré son jeune âge, c’est se que fit
la Maitresse des Crocs, surnommé la Créature par les habitants des valles,
Brume, tout simplement par sa Grade et elle-même. En huit ans elle fortifia la
chaine de montagne où elle trouva la dépouille de son père.
Le savoir faire des nains l’aida grandement dans la
construction de sa citadelle. Brume exploita les connaissances de quelques
nains architecte ivres morts pour en tiré des plans tracés maladroitement puis
ordonna a sa Garde d’affiné les plans. Se fut ainsi que la Citadelle naquit au
cœur du Pic d’Yrissia. Séparé en plusieurs niveaux, on retrouvait la hiérarchie
du domaine de Brume dans les différents niveaux. Le rez de chaussé abrité
l’armée permanente de la Citadelle, puis au dessus, les quartiers bourgeois,
généralement réservé pour les taches administratives. Le niveau supérieur,
nommé, le Cercle Intérieur, abritait les quelques nobles servant de distraction
à la Maitresse des Crocs. Enfin, prêt du sommet du Pic se trouvait encaissé
dans la roche se trouvé le Sanctuaire de la Créature.
A cette hauteur, les vents froids venaient se fracassaient
contre les neiges éternelles. Usant de sa torture, Brume convaincu des mages de
tracer des glyphes dans son Sanctuaire pour en grader une agréable chaleur et
une protection contre les assauts des éléments. Si Brume appréciait les
décorations où les riches meubles, elle ne le montrait pas ici. L’entrée du
Sanctuaire par le Sud-ouest, était gardée par la Garde et s’ouvrait sur une
esplanade circulaire à demi recouverte par la roche, dallée entièrement de
marbre blanc. L’absence de parois du nord jusqu'à l’est offrait un panorama
improbable.
Au centre de l’esplanade reposé la vie de Brume. Une sorte
de mezzanine circulaire de pierre surmontait le sol de trois mètres, le lit de
Brume reposait ici même. A l’inverse, en dessous l’esplanade avait était creusé
pour descendre de deux mètres dans une sorte d’arène. Cette dernière était
plutôt une sépulture en l’honneur de son père. En effet les ossements et
l’armure du défunt reposaient à même la roche du Pic d’Yrissia. Le dallage
blanc prêt du lit de Brume avait laissé place à du marbre noir où d’étranges
canaux regorgeant de sang coagulé, serpentaient jusqu'à la sépulture du père. Les
deux étages ainsi créés formaient le Cœur de Brume, son lieu où elle seule pouvait
se rendre, hormis quelques privilégiés qui n’en ressortaient pas vivant. Ses
quelques effets personnels, tel que ses armures, ses armes, ou bien ses tenues
d’apparat étaient posé à même le sol contre la paroi sud du Sanctuaire.
La défense du Pic d’Yrissia était assuré d’une part par la
Garde de la Créature, mais aussi par la Garde permanente de la Citadelle, ainsi
que par quelques sortilèges volés aux mages rendant ainsi les hauteurs
difficilement accessibles en raison des éléments et des quelques flèches bien
ajusté des défenseurs.
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Les Crocs étaient une chaine de montagne bordant sur
quelques kilomètres le sud-ouest des Terres du Nord. Avant l’an 196 ces monts
n’étaient pas habités, par chance pour les habitants des vallées profondes. On
prétendait que jadis un esprit avait construit son sanctuaire dans les hauteurs
des montagnes, personne n’avait osé grimper jusqu’au sommet pour en vérifier
l’existence.
Mais un jour un homme entama l’ascension, un cavalier
solitaire d’après les rumeurs qui circulaient dans les trois pauvres villes présentes
dans les Monts Brumeux, suivit de prêt par les troupes du Second Empire, un
aller, un retour des forces armées, les habitants classèrent l’affaire. Le
déserteur était mort, leurs champs intacts, les monts n’étaient pas tombés sur
leur tête, tout aller pour le mieux pour les paysans de la Chaine des Crocs.
C’est en l’an 196 que tout bascula. Les Crocs furent
ébranlés par une créature des plus cruelle. Elle déversa sur les trois villes
sa rage et sa haine sous forme d’humains et d’orcs ayant pour consigne de
récupérer des esclaves de bonne qualité. Ainsi naquit une contrée ravagée par
la colère et l’acier.
Les Crocs devinrent vite une zone dangereuse. Les points
d’accès aux vallées, au nombre de trois, furent bloqués par les hordes de la
créature, réduisant les caravanes en esclavage, bloquant les contre offensive
de quelques paysans du coin. La construction des Crocs avaient commencé.
La géographie des lieux vu des cieux montraient un anneau
montagneux avec en son centre une ligne de pics enneigé où un fleuve serpentait
dans un premier temps des pics vers le nord, puis contournait ces même pics par
l’ouest puis le sud pour finir à l’est dans les Terres du Nord.
La grotte qui servait d’entrée par le sud fut fortifié,
formant un goulot d’étranglement menant à une porte de pierre et d’acier,
bardée de rune obtenu sous la torture de quelque faible esprit de mage. Des
coursives s’étiraient tout du long du goulot laissant aux défenseurs le libre
choix de la façon de tué les assaillants, flèches, pierres, huile bouillante,
urine acide d’orcs et autres. L’entrée prit le nom du Goulot du Mort en raison
du nombre de cadavre entassés sur les rebords du tunnel. Le Goulot du Mort
abritait, encaissée dans la vallée d’Arne, la ville du Corbeau, en hommage au
commandant de la garnison. L’humain responsable de la défense de la vallée,
trainait toujours avec lui ses deux corbeaux. Empestant la fiente d’oiseaux, il
s’imposa en maitre de part son physique impressionnant, on murmurait même qu’il
était demi-humain demi-géant. Vêtu d’une armure de plaque noire et cabossée, le
commandant gouvernait cette partie des Crocs avec une main d’acier gantée
d’acier. Bien que le Corbeau exercé une écrasante domination sur la vallée
d’Arne, elle n’en demeuré pas moins l’une des plus fertiles, fournissant à la Créature
des Crocs, un système économique performant malgré les caprices de la Nature. La
nourriture se récoltait à foison dans les immenses champs, les forêts
regorgeaient d’animaux en tout genre. Majoritairement peuplé par des humains,
le pays d’Arne affichait un décor bucolique aux doux chants d’oiseaux à
l’opposé de la vallée d’Elvéana.
Situé à l’est des Crocs, ces territoires furent les plus
ravagés par la Créature. On y retrouvait la folie des Orcs sur les champs de
batailles, des étendues de sang et d’ossement qui jonchaient les bords du
fleuve. Une muraille fut érigé sous les ordres d’Orok, commandant des légions
de la vallée d’Elvéana, bloquant l’entrée Est du domaine des Crocs. Les
quelques descriptions parvenu aux oreilles des habitants de l’extérieur ne
donnait guerre envie de visité cette vallée. Paysage massacré par la guerre,
rougi par le sang, brulé par le feu, envahit d’Orcs et de quelques humains,
Elvéana, malgré son doux nom surement d’origine elfique, était devenu une terre
de désolation. Le centre névralgique de la vallée fut implanté dans l’ancienne
ville marchande d’Ystria, fief actuel du commandant Orok.
Le Mur de Glace, visible à des kilomètres à la ronde au
Nord, encastré entre les deux bords de la vallée du Givre, se fut surement
l’œuvre la plus démente que la Créature ordonna de construire à ses esclaves. La
construction du Mur n’était pas encore achevée mais il culminait déjà à une
hauteur d’une centaine de mètre et assurait à présent son rôle principal,
bloqué le froid intense qui descendait des terres du Nord. Le chaud montant des
Crocs et des trois autres vallées se heurtait au froid créant sur le Mur de
Glace des orages dignes de l’Apocalypse. Les conditions de travails étaient des
plus affreuses pour les esclaves. N’ayant pas d’autre choix que de monter des
blocs de granits à des hauteurs vertigineuses, ces hommes et ces femmes
travaillaient sans relâche de peur d’être présenté devant la Mante. Cette
dernière, haute de trois mètres était une créature constamment voilée, ne
montrant que ses pinces recouverte de plaque d’acier que pour décapité les
récalcitrant, était responsable de la Vallée du Givre. Fidèle servante de la
Créature, elle bâtit sur les ruines de la troisième ville humaine son nid. Pondant
ses œufs dans ses moments perdus elle assurait la défense d’un des points
importants des Crocs. C’était sur son territoire que se déversait les eaux
claires du Néra, unique fleuve des chaines des Crocs.
Serpentant dans un premier temps dans la vallée du Givre le
fleuve se jetait dans la vallée d’Arne pour en irriguer les cultures puis se
teinté de pourpre lorsqu’il coulait dans la vallée d’Elvéana pour finir en
dehors de la chaine des Crocs. Prenant sa source sur les plus hauts monts de la
chaine, il passait dans un premier temps dans les entrailles du pic d’Yrissia,
principal sommet des Crocs, Citadelle de la Créature.
La chaine des Crocs présentait un avantage stratégique sans
précédant pour ceux sachant l’exploiter. Malgré son jeune âge, c’est se que fit
la Maitresse des Crocs, surnommé la Créature par les habitants des valles,
Brume, tout simplement par sa Grade et elle-même. En huit ans elle fortifia la
chaine de montagne où elle trouva la dépouille de son père.
Le savoir faire des nains l’aida grandement dans la
construction de sa citadelle. Brume exploita les connaissances de quelques
nains architecte ivres morts pour en tiré des plans tracés maladroitement puis
ordonna a sa Garde d’affiné les plans. Se fut ainsi que la Citadelle naquit au
cœur du Pic d’Yrissia. Séparé en plusieurs niveaux, on retrouvait la hiérarchie
du domaine de Brume dans les différents niveaux. Le rez de chaussé abrité
l’armée permanente de la Citadelle, puis au dessus, les quartiers bourgeois,
généralement réservé pour les taches administratives. Le niveau supérieur,
nommé, le Cercle Intérieur, abritait les quelques nobles servant de distraction
à la Maitresse des Crocs. Enfin, prêt du sommet du Pic se trouvait encaissé
dans la roche se trouvé le Sanctuaire de la Créature.
A cette hauteur, les vents froids venaient se fracassaient
contre les neiges éternelles. Usant de sa torture, Brume convaincu des mages de
tracer des glyphes dans son Sanctuaire pour en grader une agréable chaleur et
une protection contre les assauts des éléments. Si Brume appréciait les
décorations où les riches meubles, elle ne le montrait pas ici. L’entrée du
Sanctuaire par le Sud-ouest, était gardée par la Garde et s’ouvrait sur une
esplanade circulaire à demi recouverte par la roche, dallée entièrement de
marbre blanc. L’absence de parois du nord jusqu'à l’est offrait un panorama
improbable.
Au centre de l’esplanade reposé la vie de Brume. Une sorte
de mezzanine circulaire de pierre surmontait le sol de trois mètres, le lit de
Brume reposait ici même. A l’inverse, en dessous l’esplanade avait était creusé
pour descendre de deux mètres dans une sorte d’arène. Cette dernière était
plutôt une sépulture en l’honneur de son père. En effet les ossements et
l’armure du défunt reposaient à même la roche du Pic d’Yrissia. Le dallage
blanc prêt du lit de Brume avait laissé place à du marbre noir où d’étranges
canaux regorgeant de sang coagulé, serpentaient jusqu'à la sépulture du père. Les
deux étages ainsi créés formaient le Cœur de Brume, son lieu où elle seule pouvait
se rendre, hormis quelques privilégiés qui n’en ressortaient pas vivant. Ses
quelques effets personnels, tel que ses armures, ses armes, ou bien ses tenues
d’apparat étaient posé à même le sol contre la paroi sud du Sanctuaire.
La défense du Pic d’Yrissia était assuré d’une part par la
Garde de la Créature, mais aussi par la Garde permanente de la Citadelle, ainsi
que par quelques sortilèges volés aux mages rendant ainsi les hauteurs
difficilement accessibles en raison des éléments et des quelques flèches bien
ajusté des défenseurs.