par Une patrouille de lorrain chevauchant des loups s'était arrêté le long de la frontière du Comté de Trahers-Noctams et guettait l'horizon de la nuit. Le vent changea soudain de direction et les loups jusque là calme dressèrent leur poil blanc et montrèrent les crocs en direction de l'Est. Les deux lorrains suivirent l'instinct animale de leur monture et au bout de quelques minutes arrivèrent à un bivouac où deux chevaux noir étaient attachés à un arbre. Une tente était installé au près d'un petit feux de camp, de là sortit une voie humaine et les loups resserrèrent leurs croc dans leur grande gueule. Toujours dans la confiance de leur bêtes les lorrains armèrent leur arc.
Au nom de la Lorraine sortez de votre tente immédiatement!
Deux hommes encapuchonner de noir portant une armure de cuir clouté tout aussi sombre et à leur hanche une claymore rangée dans leur fourreaux de la même couleur que le reste de leur tenu sortirent de la tente.
Que faites vous là si loin des routes?!
Les deux hommes le visage barrés d'un foulard noir, proche du mètre soixante-dix, tout les deux bien plus petit que les deux lorrains se regardèrent et ne répondirent pas. Le vent tourna de nouveau et les loups portèrent leur attention vers leurs gauche. Ils ne l'avaient pas sentit à cause du sens du vent mais d'autres humains étaient caché dans des taillis plus loin, à coup sure c'était un guet-apens qu'on leur avait tendu. Ce fut trop tard que les deux cavalier lorrains s'en rendirent compte, huit flèche étaient partit de derrière des buissons et les transperçaient de leur pointe de métal. Celui qui avait interpelé les deux hommes tomba à la renverse trois flèches encastrées dans le thorax et l'autre en avait reçu une dans la gorge et un dans l'aine se vidant de son sang. Le loup qu'il chevauchait en reçu une dans la cuisse arrière droite ce qui ne l'empêcha pas de se lancer sur la cachètes des tireurs avec l'autre bêtes. Mais à peine eurent-t-ils le temps d'apercevoir de leur yeux de loup dans la pénombre les contours de leurs agresseurs, que le sol s'effondra sous leurs pieds. Une fosse d'une dizaine de mètres de profondeur les avala, une grille couvrit immédiatement par où ils avaient chuter et un humain s'approcha du bord, lâcha un rire sadique epuis lança dans la fosse une sphère qui se brisa au contact du sol, libérant ainsi un gaz lourd qui endormit les deux colosses.
Les lorrains n'avaient aucune chance le plan qui les concernais était réglé tel l'engrenage d'une horloge.
Au nom de la Lorraine sortez de votre tente immédiatement!
Deux hommes encapuchonner de noir portant une armure de cuir clouté tout aussi sombre et à leur hanche une claymore rangée dans leur fourreaux de la même couleur que le reste de leur tenu sortirent de la tente.
Que faites vous là si loin des routes?!
Les deux hommes le visage barrés d'un foulard noir, proche du mètre soixante-dix, tout les deux bien plus petit que les deux lorrains se regardèrent et ne répondirent pas. Le vent tourna de nouveau et les loups portèrent leur attention vers leurs gauche. Ils ne l'avaient pas sentit à cause du sens du vent mais d'autres humains étaient caché dans des taillis plus loin, à coup sure c'était un guet-apens qu'on leur avait tendu. Ce fut trop tard que les deux cavalier lorrains s'en rendirent compte, huit flèche étaient partit de derrière des buissons et les transperçaient de leur pointe de métal. Celui qui avait interpelé les deux hommes tomba à la renverse trois flèches encastrées dans le thorax et l'autre en avait reçu une dans la gorge et un dans l'aine se vidant de son sang. Le loup qu'il chevauchait en reçu une dans la cuisse arrière droite ce qui ne l'empêcha pas de se lancer sur la cachètes des tireurs avec l'autre bêtes. Mais à peine eurent-t-ils le temps d'apercevoir de leur yeux de loup dans la pénombre les contours de leurs agresseurs, que le sol s'effondra sous leurs pieds. Une fosse d'une dizaine de mètres de profondeur les avala, une grille couvrit immédiatement par où ils avaient chuter et un humain s'approcha du bord, lâcha un rire sadique epuis lança dans la fosse une sphère qui se brisa au contact du sol, libérant ainsi un gaz lourd qui endormit les deux colosses.
Les lorrains n'avaient aucune chance le plan qui les concernais était réglé tel l'engrenage d'une horloge.
