[Archive] De ce qui jadis était l'Anok...

La Cité d’Anok : Description :

Ecris se jour de ma main, moi, Ecand, Stratège et Haut Commandeur des Armées de l’Anok, à la demande de Calarenne, Intendant de légitime de la Cité de l’Anok, avec le consentement de l’Elue et dans la volonté du Maître.

C’est donc à moi que revient finalement la charge de décrire la Cité d’Anok, cette terre que j’aime, ma nouvelle patrie. Je m’en acquitterais du mieux que je puis, affin qu’il siège dans les Archives de la Cité et celles de la Capital. Il convient de diviser cette description en plusieurs sous point. Les remarques, comme celle-ci, seront indiquée en italique.

A. Histoire et Préambule :

L’Anok fut bâtie par le Maître en personne du temps où il résidait encore parmi nous sur cette terre mortelle. Alors Saint-Medar, Chef et Haut Chaman de la Tribu qui portait son nom, il sentit, alors qu’il s’était établit depuis peu dans la Cité aujourd’hui désertée d’Alicandia la Belle, que lui aussi devrait avoir son fief, une ville digne de lui, une forteresse à sa mesure, un bastion plus imposant que la Tour de Garde des Hauts Orques qu’il avait relevée et restaurée par la Magie et les efforts de ses gens. Il se mit donc tout d’abord en quête d’un site où commencer les travaux. Il n’avait pas encore d’idée précise, comme il le confia à son conseil de stratège, mais faisait confiance à son instinct et aux choses vers les quelles Chaos et Hadès jugeraient bon de le guidé. Il avait une fois totale en ceux qu’il servait, et il ne voulu établir aucun plan avant qu’ils ne lui aient montrés la voie, ne nous confiant même pas ses idées. Il était le Maître et nous les serviteurs.

Et un jour il parti donc, seul, sans rien dire à personne, confiant encore une fois l’Intendance à son frère Calarenne. Il chemina longuement, se laissant guidé par les murmures du Néant, jusqu'à arriver en vue d’un massif de trois montagne isolées au milieu d’une plaine, deux éminences plus petites en encadrant un troisième, qui montait très haut. Sur l’une des deux et dans la vallée entre elles vivaient de puissants Trolls, plus grands et plus résistants que la moyenne de leur congénères. Plus stupide encore, aussi... Néanmoins, ils étaient libres, leur bêtise et leur force étant telle qu’aucune tribu d’Orques n’avaient pu les asservir. Sur l’autre s’étaient établit des Humains, qui résidaient dans une communauté villageoise, sous la domination d’un chef élu. Ils avaient conclu une sorte de pacte avec les Trolls, une trêve, et ils menaient une vie paisible et tranquille, cultivant la pente extérieure de leur petite montagne et chassant de temps en temps.

Mais se qui l’intéressait se trouvait au sommet de la plus grande des montagnes, inhabitée. Il la gravit, sans tenir compte des avertissements superstitieux qui lui étaient lancés. Je ne sais point ce qu’il fit là bas. Tout se que je peux dire, c’est que depuis des années sans nombres, il y avait là une pierre grande noire, gravée de runes incompréhensibles de tous et de toutes. Pendant neuf jours et neuf nuits il resta en haut, et durant tout se temps, une sombre lueur en émana. Puis il fini par descendre, et par repartir. On peut supposer qu’Hadès, ou même plus probablement Chaos en personne, au vu de se qui se passa là par la suite, lui parla, ou bien le mit à l’épreuve de quelque manière que se fut, à moins qu’il n’ait eu à briser le secret de quelques sortilèges apposés là par son Père ou l’un de siens. Mieux vaut ne pas trop se demander, et de toute façon, pour vous qui lisez ces lignes, cela n’a pas grande importance... Cela n’est pas votre affaire.

Toujours est il que le Maître revint à la Tribu d’alors et nous dit à son frère et à moi qu’il avait trouver le lieu de sa Citadelle. Il fit se mettre en marche toute l’armée, et tomba par surprise sur les gens du massif de Kor, car tel était son nom. Pour les Trolls, il en tua quelques uns, mais surtout, usant du contrôle sur les pouvoirs de ses Chamans et des siens propres, il les asservit. Tous, sauf un, un Demi Troll plus résistant mentalement que les autres, plus intelligent aussi, beaucoup plus en vérité, même si son environnement ne lui avait pas donné la possibilité de la développée, il se nommait Grorg, et le Maître le prit à son service, en faisant son Champion. Pour se qui était des humains, il les extermina presque tous, réduisant les autres en esclavage pour les ramenés dans son fief, car il ne pouvait pas déjà s’établir dans son nouveau domaine, il lui faudrait au part avant effectuer des travaux, des aménagements...

Il les commençant de suite, mettant les Trolls au travail, surtout ceux qui vivaient là au part avant, mais aussi d’autres, venu d’autres endroits. Il débuta par le Mont Noir, qu’il renomma Mont de l’Anok. Il a d'abord fallu déblayer le sommet du mont, arrachant à la montagne d'immenses blocs de terre et de pierres. Les blocs furent rejetés dans la Petite vallée, aussi appelée vallée de Laera, qui fut bientôt entièrement comblée. Ensuite, de gigantesques dalles de roches ont été posées sur toute la surface du bord du plateau nouvellement créé au pied du mont Kor. Elles venaient, comme toute la pierre brute, une sorte de granit, qui servit à la construction, d’une lointaine carrière, à l’Est, qui était passée sous le contrôle de la Tribu à grands frais. Pour les extraire, il avait fallu des Chamans, des Trolls et quelques Humains expérimentés ou habiles pour toutes les tâches que les grandes créatures ne pouvaient pas accomplirent.

Et nombreux, ils sont morts pour acheminer les blocs de roches, puis ensuite toutes les autres denrées nécessaires, bois, métaux, pierres précieuses, à travers la plaine de Lera. Ils finirent par accomplir leurs œuvres, relayés plus tard par des humains et même des elfes ou autres races intelligentes pour la construction de la ville en elle-même sur le plateau. Pendant se temps, dans l’ancien Mont Blanc, devenu le Mont de la Terreur, le Maître mit au point des bêtes sans noms par d’obscures procédés que je ne connais point, et avec ses bêtes il peupla les flancs du Mont de l’Anok. Puis, finalement, il vint un soir, montant jusqu’au sommet,seul. Tout était terminer, sauf une chose : le Palais. Il usa de sa puissante magie pour le bâtir de toute pièce, et le scella de sa propre vie. Il s’éteignit, et l’Anok passa à l’intendance de son frère.

Sous la gouvernance de Calarenne, la Cité grandit et prospéra. Elle se dota d’une Ville Basse, construite par les humains, d’une forte population et d’une puissante armée, ainsi que d’une multiplicité de cultures et de religions. Ce fut à cette époque qu’arriva l’Elue, pour notre plus grand bonheur. Toutefois, les différents finirent par divisés les hommes : une guerre civile éclata, et comme pour marquer le courroux des Dieux et du Maître, la Peste Rouge frappa l’Anok, la laissant désolée et en ruine. Toutefois, le salut vint de là où on ne l’attendait pas. Les Hobbits vinrent en nombre, venu de quelque lointaine contrée, et sous l’autorité de l’Intendant, ils se mirent à leur tour à prospérer, jusqu'à l’époque actuelle.

B. Charte de la Cité de l'Anok :

- La Cité sera divisée en deux : le Cité Haute et la Cité Basse.

-La Cité Haute sera à la garde exclusive de Calarenne, Intendant légitime de l'Anok, jusqu'au retour du Maître.

-La charge de défendre la Cité Haute reviendra aux Gardiens de la Lumière et à leur Commandeur. Ils auront tous droits pour y faire régner l'ordre et la loi, selon la volonté du Maître et sous le contrôle de l'Intendant.

-La Cité Basse sera à la charge du Maire, élu par les Hobbits de l'Anok selon leur propre coutume, ou tout autre moyen qui trouvera grâce à leur yeux.

-Le Maire aura tout autorité pour gérer les Shérifs dans la Cité Basse, et y faire régner l'ordre et la loi.

-La défense de la Cité de l'Anok sera assurer par le Stratège et Haut Commandeur de l'armée. Celui si gérera l'Armée Extérieur, fournie par les Hobbits pour leur propre sécurité, et l'Armée Intérieur, composée de volontaire de la Cité Haute comme de la Cité Basse.

-Le privilège de nommer le Stratège et Haut Commandeur de l'armée revient à l'Intendant.

-En cas de crise, l'Intendant conserve tout pouvoir pour prendre les mesures nécessaires à la préservation de la Cité dont il a la charge.

-Dans tout domaine, la parole de l'Elue fait loi, juste après celle du Maître.

-La charge de tuteur légal de l'Elue revient à l'Intendant.

-Le commerce sera réguler par le Conseil Marchand. Le seul membre permanent sera l'Intendant.

-Les affaires impliquant les deux parties de la Cité ou les gros problème seront gérer par le Conseil d'administration. Le Président du Conseil et d'office l'Intendant.

-Le post de Maire s'accompagne d'un siège au Conseil Marchand et au Conseil d'administration.

-Les Hobbits restent libre d'établir des élections et des conseils internes comme bon leur semblera.

-Un banquet mensuel sera tenu dans la Grande Salle de la Cité Basse.

-La Cité Haute reçois le titre de Citadelle d'Anok et la Cité Basse celui de Pays d'Anok.

C. La Citadelle d’Anok :

En haut du Mont de l’Anok est perchée la Ville Haute, la Citadelle, bâtie par le Maître en personne au cours d’un long et terrible labeur. Le sol se constitue d’un immense pavage, assemblage d’imposantes dalles de roches, assemblées avec précision, de sorte que même un brin d’herbe ne saurait pousser entre elles. Sur toute sa surface s’élèvent d’imposant bâtiment de pierre grise, pour la plus part. Habitations, temples, réserves et magasins. Ils n’ont pas été conçus pour abriter autre chose que le personnel et les gens des temples. Pourtant, aujourd’hui, c’est là que résident les Serviteurs d’Oropt, un ordre semi religieux et semi guerrier. Après la Guerre Civile et la Peste Rouge, il leur fut confier la garde de la Citadelle, et c’est là une responsabilité qu’ils prennent très à cœur, Gardiens inflexibles et incorruptibles, près à mourir par conviction.

Levés dès l’aube avec le Soleil, qu’ils vénèrent comme le messager de leur Dieu tout puissant, ils mènent une vie monastique, se nourrissant de pain, de viande et de légume, avec parfois un peu de fromage. Chez eux, pas d’alcool, sauf le vin rouge rituel lors de célébration, et ses membres boivent principalement de l’eau, pure et claire, tirée de la source de la Citadelle. Ils veillent sur le triple mur de roche apparemment indestructible et inébranlable, dont chaque enceinte est percée d’une unique porte, aucune ne se faisant face, qui s’élève sur le pourtour du plateau, maintenant une garde vigilante, même si il y a peu de chance qu’un ennemi arrive jamais jusque là, au vue des défenses qu’il devrait franchir avant. Mais ce n’est pas là leur seule tâche, puisqu’ils patrouillent aussi dans la Ville, et gardent les Temples, du moins ceux qui n’ont pas leur propres protecteurs religieux.

Car, du matin au soir, et souvent du soir au matin, les fumées de l’encens s’élèvent de différents bâtiments, dédiés aux différents Dieux qui sont adorés en Anok. Parmi les plus important, citons le Sanctuaire Infernal, où viennent les fidèles d’Hadès... c’est l’un des plus grands et des plus luxueux, car, même si les Hobbits sont beaucoup moins nombreux à suivre le Maître du Monde Souterrain, il reste le dieu tutélaire de l’Intendant et de nombre des habitants les plus anciens et importants... Il est protéger par les restes de la Horde et de la Meute, guerriers féroces et toujours prêts à aider les gêneurs à rentrer directement dans la Demeure d’ Hadès au lieu de se contenter de son Sanctuaire. Il y a aussi l’Eglise Grise, où résident à présent les Pèlerins, sous la garde des vestiges des différents Corps Gris... Sans oublier, bien sûr, le Monastère Solaire et le Temple Aux Etoiles...

Le premier est le lieu de culte des Serviteurs d’Oropt eux même, et tous ceux qui veulent adorée le Dieu du Jour peuvent y venir, bien qu’aucun trouble ne soit admit. Le second est celui de Réhéa, la Dame de la Nuit, et même si les Messagers y sont toujours, ils acceptent sans problème la présence des gardiens officiels de la Citadelle, toujours selon l’étrange ensemble qui semble être établit entre les deux ordres. De nombreuses autres divinités plus où moins importante possèdent leur temple, à l’exception toute fois de Chaos, le Dieu Oublier. Le reste des bâtiments, et même certain sanctuaire, autrefois gris, sont aujourd’hui peint dans différentes couleurs vives et joyeuse, selon les souhaits de l’Elue Ellianne, jusqu'à l’intérieur des murailles et les Portes qui s’ornent de fresques artistiques, à la gloire des Dieux et du Maître, ou bien abstrait quand il ne racontent pas quelques scènes de légendes ou de l’histoire de l’Anok.

Mais là où l’influence de la Demoiselle se fait le plus sentir, c’est dans l’ancienne place qui entourait le Palais. Elle à fait défoncer ou enlever les dalles, et là s’élèvent à présent les Jardins de l’Elue. Entouré d’une bordure de pierre et d’un muret s’ouvrant au quatre points cardinaux, fleurs et arbustes poussent à présent sous la surveillance bienveillante d’Ellianne, et grâce aux soins constants que leur apportent une armada de jardinier Hobbits, secondés par quelques Elfes et Humains. C’est un endroit plaisant, doté de petits sentiers de pierre multicolores et de banc de bois ou de grès, où l’Elue en personne aime à se promener. Même l’Intendant à avouer l’apprécier, et moi-même, je dois avouer que parfois, quand les responsabilités qu’entraînent le fait de gérer une armée de Hobbits deviennent écrasante, il est bon de pouvoir s’y attarder quelques instants...

Les Jardins entourent donc le Palais lui-même, un ouvrage de Magie et d’Obscurne, une pierre plus noire que la nuit à la quelle on attribut divers pouvoirs sans pouvoir exactement s’accorder dessus. En tout cas, il résiste farouchement à toute application de peinture, à la grande consternation de la Demoiselle Ellianne, qui a plusieurs fois piquer une crise en voyant les mélanges préparés longuement ne pas adhérer à la façade. Par contre, la fantaisie du Maître, dont le bâtiment est la dernière œuvre, fait qu’il est sculpté de diverses scène et créature étranges, bien loin de celles de se monde ci. On peut citer notamment les deux gardiens de roche sombre de chaque coté de la porte principale, semblant près à s’animer à tout instant pour pourfendre les ennemis du Maître... Il en existe une autre paire, gardant l’entrer de son tombeau terrestre.

Car le Palais renferme, outre le cœur administratif de l’Anok, les appartements des principaux personnages de la Ville Haute et la salle de jeux personnelle de l’Elue, ainsi que son garde manger, la tombe du Maître, où son corps repose derrière une barrière d’Obscurne rendue transparente par quelque Magie. On l’y vois, vêtu d’une version légère de son armure, son éternelle casque de guerre sur la tête, son bâton derrière la tête, à jamais préserver jusqu'à la fin des fins. C’est une salle reculée, où sont tenue quelques cérémonies, et où seul l’Intendant à généralement le droit d’entrer, avec l’Elue bien entendu. L’ensemble forme une construction véritablement indestructible et inexpugnable, ultime Bastion au cœur de la Forteresse...

D. L’entre-deux-murs :

Entre la Cité Basse et la Cité Haute, et par conséquent entre les deux triples enceintes de pierre apparemment indestructible, s’élève cette zone que l’on surnomme l’entre-deux-murs, faute de meilleur nom. Elle-même peut être séparée en deux ensembles distincts l’un de l’autre : la Route du Maître et les Pentes-Des-Bêtes. La Route, tout d’abord, est une immense chaussée serpentant sur la pente, longue et sinueuse. Si elle fait de nombreux détours, se n'était pas à cause des éléments naturels, balayés par la force brute des trolls qui avaient participés à la construction, mais bel et bien pour compliquer la tâche d’éventuels assaillants. De plus, dans chaque courbe de la Route s'élève une tour. Chacune constitue un solide édifice de pierre de taille, doté d'une seule porte de chêne solide et renforcer d'acier...

Chacune est un puissant bastion, inexpugnable autrement que par la magie, un long siège, un sacrifice d'homme où l'utilisation de machines de siège... La dernière option suppose bien sûr qu'on réussisse à les faire passer l'enceinte... Elles sont autant d'obstacles à l'avancée d'éventuels assaillants, qui devraient prendre chacune d'entre elles avant de continuer, sous peine de pluies de flèches et de sorties intempestives... De toutes les attaques qu’a subie l’Anok depuis sa construction, et elles son nombreuses, plusieurs ont réussie à prendre le Mur Extérieur, mais jamais aucune n’a pu s’élever plus haut que la moitié de la Route. Celle-ci est, en outre, encadrée par deux solides murailles de pierre, s’élevant environs à deux mètres cinquante de haut dans son ensemble. Ce mur passe derrière les tours, et ne s’interromps pas de la Porte Basse à la Porte Haute. Il est d’ailleurs à noté que la Route du Maître est l’unique route qui cours sur l’entre-deux-murs.

Bien sûr, il y en a plus d’un qui ont tenté de passer d’un Mur à l’autre en sautant de l’Enceinte Extérieur sur les pentes du Mont... Tous ont apprit à leurs dépend que le nom Pentes-Des-Bêtes n’est pas là juste pour faire joli. Les flancs de l’Anok son creusées de centaines de grottes, ponctuez de dizaines de marres putrides, garnis de nombreuses petites éminences rocheuses. Et là, là vivent les Bêtes, élaborée par le Maître, son frère – notre sage Intendant – et ses Chamans au temps de la construction de la Citadelle. Ce sont là des hybrides, qui sont issus de créatures plus invraisemblables les unes que les autres. Orques, gobelins, trolls, barbares humains, fauves, loups, pour les plus communs, mais aussi des insectes géants venu de forêts lointaines, êtres abyssales que la Tribu avait jadis fait venir des profondeurs des océans, et d’autres encore, inconnus, inclassables et indescriptibles.

Ils constituent les meilleurs des gardiens, et ils se renforcent quotidiennement... Ils sont taillés non pas pour les batailles, mais pour la défense... Des êtres cauchemardesques qui se reproduisent vite, s'auto régulent parfaitement en se mangeant au besoin, et ne sortent jamais de leur territoire... Jusqu’à présent, personne n’a réussi à passer les Pentes-Des-Bêtes... Et les fous sont venu renforcée la biodiversité, le plus souvent en variant les repas des créatures, qui autrement se nourrissent d’elles-mêmes...

E. Le Pays d’Anok :

Tout contre le mur s’étendent les restes de l’ancienne Cité Basse d’Anok. Là vivent des Humains ainsi que quelques représentants des autres races, surtout des Nains, des Elfes et des Hobbits « urbains ». Elle est très inégale, bien loin d’autre fois où elle décrivait des cercles autours du Mont. Là vivent les Gardiens du Murs Extérieurs, du moins ceux en service. En effet, les Petites Personnes se relayent pour faire partie de la Garde, en compagnie des membres permanents. Deux bâtiments récents et différents se trouvent sur deux cotés opposés : la Grande Salle, lieux où se tiennent les banquets officiels ou officieux, et où il traîne toujours un repas ou un reste de repas pour les estomacs avides des cuisiniers ou de la Dame Elue. Le second est la Maison du Maire, où réside, bien entendu, le chef de la communauté Hobbit.

Au-delà de cette ville hors de la ville, le Pays d’Anok en lui-même déroule ses larges étendues. On peut le diviser en quatre parties, correspondant à peu près aux quatre points cardinaux, et il s’étend sur toute les anciennes plaines de Léra, voir même au-delà. Au Nord, se sont les anciennes plaines en elles mêmes. C’est de là que le Maître, et puis nous, fondateurs de la Cité, nous sommes venu, là que des centaines, peut être des milliers de créatures perdirent la vie pour édifier dans le sang la puissante Citadelle. C’est aussi le coté le plus exposé, et c’est de là que viennent l’immense majorité des assaillants. Si les Hobbits se sont pourtant établit là, c’est une race de Hobbits plus durs et plus fiers que les autres, les plus tenaces, ceux qui étaient près à une dure vie pour avoir plus de terre. Ils font poussé des champignons, où ils sont discrets et résistants, tant sur le sol que sous le sol.

Plus on se rapproche de la Cité, plus les cultures sont vastes, car moins souvent dévastées par la guerre. Des légumes persistants et peu voyant apparaisse alors, avant de se transformer en ferme franchement prospère près des murailles. Au Nord sont maintenus les Bastions, lieux où les habitants de la vieille ville qui ne souhaitait plus vivre là, tant le souvenir de la Peste Rouge étaient forts, ont immigré. Ils ont construit des villages fortifiés, où ils se mêlent aux Hobbits, qui, là comme ailleurs, assurent l’approvisionnement. Ce n’est bien sûr qu’une majorité, car il existe quelques autres Bastions, notamment, les Bastions d’Oropt, lieux où des Serviteurs se sont établit, créant de petite forteresse apportant l’hospitalité au voyageur et la Lumière du Jour, ainsi que sa protection, aux habitants. Tous fonctionnent toutefois à peu près sur le modèle classique : les Hobbits nourrissent, les autres protègent.

Le Nord s’étend de la ville au pied des remparts aux limites de la plaine, et déborde sur le Nord Est et le Nord Ouest. Une des caractéristique que tous les secteurs partagent, ce sont les relais de postes et de Messagers de la Nuit qui vont des frontières à la Cité et rayonnent tels des toiles d’araignées, transmettant les alertes et les nouvelles, et où sont maintenu chevaux et poneys. Ils sont surtout présent au Nord et à l’Ouest, les deux flancs les plus exposés. La partie Ouest va des murailles à la Chaîne Erodée. Là, la vie est moins rude que dans la partie septentrional du pays, mais des attaques y viennent tout de même de temps en temps. Sur le bord de se secteur, il n’y a donc que quelques cabanes et trous, avec des jardins, parfois de vrais petit champs, plantés de radis, de choux ou de betteraves. Au fur et à mesure qu’on avance, on voit les habitations se multiplier, et les jardins se parer de patates et d’herbes à pipe, ainsi que d’autres légumes.

Ce secteur est parsemé de villages sur les routes principales, où les habitants sont prospères. Parfois, un peu à l’écart, on peu voir des distilleries ou des ateliers, d’où s’échappent parfois des explosions, qui n’inquiètent plus personne depuis le temps. A certains endroits, quand il y a des collines naturelles, une porte de bois est juste visible, avec quelque fois une cheminée sur le flanc, se qui est un spectacle des plus singuliers. La partie Ouest est du reste plus réduite que celle du Nord, elle ne couvre que l’Ouest lui-même et la moitié du Sud-Ouest, mais il apporte une part plus que correcte dans la production agricole de la Cité, car ses terres sont fort fertiles et relativement peu foulée par les armées, contrairement à la précédente. La majorité des revenus vient tout de même du quart Sud du Pays d’Anok...

Celui-ci c’étend sur la moitié du Sud-Ouest, le Sud, et le Sud-Est. Elle n’est peu, ou pas attaquer, et les Crocs de l’Ours, prolongement plus jeune de la Chaîne Erodé, abritent des postes de garde commandant les passes, car c’est de là que vient la vraie richesse de notre nation : l’herbe à pipe ! Ces mini citadelles, les Forts, sont fondé de la même façon que les Bastions : par des émigrants de la vieille ville, par des volontaires, ou par un ordre religieux. Les Serviteurs d’Oropt, encore une fois, y entretiennent notamment plusieurs garnisons, dont le célèbre Fort-Soleil, véritable forteresse gardant une des rares passes menant à un autre groupe de montagne où vivaient jadis des bandits nains et humains, et qui est l’un des rares fronts parfois attaqués. On compte aussi Fort-Brasier, peu dangereux mais où sont envoyés les meilleurs guerriers de l’Ordre pour se perfectionner.

D’une manière général, le plein sud produit beaucoup d’herbe à pipe de bonne qualité et le Sud-Ouest une variété exceptionnelle, mais rare. Le Sud-Est, lui, est plus inhospitalier, mais tire quand même un rendement satisfaisant. Au-delà, à l’Est, se sont des terres assez peu fertile, qui ne s’étende en fait que plein Est. Le sol y est rocailleux, mais des Hobbits se sont aussi établit ici, cultivant diverses plantes et faisant de la bière ! Elle est fort longue, et se termine par le Gouffre de Rocaille, qu’enjambe un seul et unique pont de pierre... Pas trop dure à défendre, et puis qui voudrait donc l’attaquer ? Un projet de culture du raisin sur certaines collines ensoleillé du Sud-Est, qui donnent très peu d’herbe à pipe, est en cours d’étude et d’expérimentation, par l’Intendant, ma modeste personne et un comité d’experts.

Au final, le Pays d’Anok produit différents types de produits, qui font la richesse de la Cité elle-même. Là vivent des Hobbits paisibles dans l’ensemble, des gens en quête d’une vie meilleurs, qu’ils ont trouvé, et quelque religieux... Un peuple heureux, qui a fois en son Elue.

E. Le Mont des Forges :

L’endroit que l’on avait jadis nommé successivement le Mont Blanc, avant que le Maître ne vienne y apporter Sa justice, au temps où une riante colonie d’humain était établie là, puis le Mont Maudit, quand le site avait été utiliser pour créer les Bêtes, est à présent devenu le Mont des Forges.