Comme un incendie d'herbe folle dans la plaine asséchée, les feux de la guerre se répandaient rapidement à travers Eternia. Après le départ de l'Envoyé du Dorthonion et les premiers ordres donnés dans la Salle du Trône, Ellianne d'Eternia et Medar, son Premier Conseiller, avec les quelques hauts-responsables de l'Armée et de la Garde Impériale qui s'étaient joints à eux, avaient travaillé jusque tard dans la nuit. Bien des messagers avaient suivit les premiers, envoyés par les seigneurs et les officiers présent lors de l'audience accordé à Dorgnath et ceux qu'ils avaient prévenus. Ils avaient été nombreux, dans cette première vague, mais les suivants le furent plus encore. La jeune femme qui présidait aux destins du continent éternien usa de ses sceaux d'Impératrice et Suzeraine des Seigneurs et Dames d'Eternia, de Duchesse, de Grande-Duchesse, d'Archiduchesse, de Commandante en Chef des Armées et Gardes Impériales, ainsi que de quelques autres qui n'avaient plus été utilisés depuis la Controverse d'Etemenorkia, et qui pour certains ne l'avaient alors pas été par l'Empereur en titre mais par ses partisans, dont elle, alors Dame de l'Alwinion au sein de la Guilde du Phénix.
Les galops des chevaux les plus rapides retentirent sur les pavés de la Capital et se répandirent dans tout le continent, les battements des ailes des oiseaux messagers divers emplirent l'air, bientôt rejoint par ceux que produisaient les Griffons, les Vouivres, les Dragons et tous les autres messagers volants les plus rapides, endurants et puissants qui se trouvaient alors en Etemenorkia. Ils partirent pour les quatre coins d'Eternia, porteurs d'ordres et de consignes pour quantités de gens. Il y avait là bien sûr les appels à la mobilisations, les ordres de marches et autres consignes guerrières, mais pas seulement. Ellianne ordonnait aussi la fermeture des frontières et la cessation immédiate de tout commerce avec le Dorthonion. Les marchands pouvaient s'estimer le droit de rompre unilatéralement leurs contrats sans se sentir en tord, et tous ceux qui s'aventureraient à faire la moindre affaire, à vendre la plus partie arme au royaume rebelle se verraient associés à sa ruine inéluctable. Les mercenaires qui pourraient offrir leurs service à Oradroth serraient entraînés dans le même sac que ses soldats, et on n'accepterait aucune reddition d'eux. En revanche, des commandes et des contrats furent envoyés à certains, contrebalançant ce manque à gagner.
Les plus zélés messagers atteignirent leurs destinations en quelques heures, volant sur les ailes du vent, même si elles étaient pour certaines fort éloignées. Un petit dragon messager, croisé et dressé pour sa vitesse, porteur de Magie pour le garder et le faire voler plus vite encore, se posa au cœur de la Citadelle la mieux gardée des Praetorii de l'Est avant même que la nuit n'ait totalement prit ses droits, car il avait été l'un des premiers envoyés. Son cri perçant interrompit l'Ambassadrice Impériale Kalio en pleine discussion avec sa consœur Valéria, qui parlait pour l'Archiduché d'Anok à la Cour Ducale, même si la Duchesse et Grande-Duchesse sensé régner en ces lieux et qui n'y était presque jamais se trouvait être sa propre suzeraine et Archiduchesse. Alarmées par les couleurs chatoyantes, tournant autour de l'argenté, de leur petit visiteur, les deux amies allèrent détacher son message, porteur de nombreux sceaux, et le lurent avec des yeux surpris. Mais elles aussi étaient nées et avaient été formées pour une terre pleine de guerre. Elles échangèrent seulement un regard avant de sortir de la chambre, et si elles allèrent bien retrouver la Comtesse Siana Elemanquia, comme elles l'avaient planifier, ce ne fut pas pour la soirée prévue mais bien pour aller trouver le parent de la noble, le Gouverneur Vosgiens de l'Est, qui venait de recevoir son ordre de mobilisation et de marche, au nom de sa suzeraine.
À peu près au même moment, un messager analogue arrivant en Acheron, au bord de la Mer d'Elensar, qui était le fief du Prince Volkmar, Archiduc de l'Empire et noble le plus puissant de l'Ouest. Il portait des ordres impériaux, une requête personnelle et le rappel des intérêts de la Principauté dans la chute du Dorthonion, qui pouvait se révéler un rival potentiel dans les régions occidentales de l'Empire. Le dragon devant prévenir Ombre, quelque dans la grande Forêt de Shanod, arriva plus vite encore, car la destination était plus proche. Le second Archiduché d'Eternia était lui aussi invité à la guerre, et l'Impératrice envoyait également une requête personnelle à sa Dauphine et belle-sœur bien-aimée. Un quatrième porteur d'ordres arriva plus tard dans la grande Mer elle-même, trouvant avec l'instinct et le savoir de sa race, renforcés par les sortilèges tissés en lui depuis qu'il n'était qu'un œuf, le vaisseau entre tous qu'il cherchait. Et ainsi l'Amiral des Flottes de l'Ouest commença-t-il à rassembler ses puissants navires de guerre, la flotte terrible armée par Asahi elle-même pour contrer les pirates dans les eaux de si bleues de cette étendue d'eau si meurtrière et pour faire respecter la Loi de l'Empire parmi les royaumes insulaires. Aucune guerre ne l'avait jamais touchée directement, et Ellianne avait elle aussi fait renforcer sa puissance.
« ...une puissante flotte capable de défendre Ergar contre toute attaque venant de la mer d'Elensar... »
Tels avaient été les mots de l'Envoyé du Dorthonion, mais il pourrait bientôt constater la vanité de ces paroles, car aucune flotte d'aucun royaume n'aurait pu résister à ce qui s'en venait. La force de frappe qui avait été prévue depuis longtemps contre Kaëturban mais que des réticences ou des accords secrets avaient toujours empêcher de frapper la Cité Corsaire pour de bon était enfin mise en mouvement... Contre un royaume rebelle et non contre l'unique ville qui l'avait fait naître pour contrer sa puissance. Une flotte qui ne serait pas seule, car en leurs temps d'autres messagers, moins zélés peut-être mais néanmoins rapides, à l'aune où l'on mesurait ces choses-là, virent alerter les seigneuries des îles, les appelant elles aussi au combat. Mais aucun envoyé ailé ne s'en vint à Spyréa l'Écarlate, car la magie avait déjà alerté les Seigneurs Phénix qui y résidaient encore que le besoin de leur Sœur par l'Oiseau était grand de leur soutient. De fiers vaisseaux prirent la guerre, et une flotte aérienne puissante les suivit rapidement. D'autres murmures coururent par la Magie, et une partie des Légions du Phénix, invaincues même lors de la Controverse d'Etemenorkia se mit à nouveau en marche sous le soleil d'Eternia.
Bien d'autres seigneuries encore furent prévenues, et les convois cessèrent toute marche vers le Dorthonion, revenant vers leur point d'origine ou partant dans l’autre directions en fonction des nouvelles commandes passées par l'Impératrice ou ses représentants, tandis que ceux qui en venaient étaient rapidement récupérés par qui de droit, avant que l'autorité royale n'eut l'idée de les rappeler également. Aucun des grands marchands impériaux ne prit le parti fou de croire que le petit royaume puisse vaincre le grand Empire, et les forgerons Nains récupérèrent leurs œuvres qui n'avaient pas encore atteint les frontières d'Oradroth, les revendant généralement aussitôt à la puissance éternienne, qui en ferait bon usage dans la guerre qui s'en venait. Les régiments de l'Armée Impériale qu'on avait choisis mobilisèrent rapidement, et les autres reçurent la consigne de se tenir prêts à toute éventualité. La Garde se rassembla aussi en Etemenorkia, certains pour accompagner Ellianne à la guerre, d'autres, plus nombreux encore, pour protéger la Capital contre toute agression malvenue ou toute manœuvre militaire inconsidérée d'éventuels alliés du Dorthonion ou de troubles-fêtes en mal de défis contre l'autorité.
Dans le Sud, les armées et convois se rassemblèrent autour de la bannière de l'Archiduché d'Anok, prévenu comme ses pairs par les messagers les plus rapides, et qui avait répondu avec force de celle qui était non seulement son Impératrice mais aussi son Archiduchesse. Les Comtés, Vicomtés et Baronnies militaires rassemblèrent leurs hommes, la force prévue pour répondre aux besoins impériaux fut rapidement mise sur pied. Calarenne, qui était non seulement Comte de Stergen, Gardien d’Anok et Commandant en Chef des Armées Ducales mais encore membre de l'Ordre des Capitaines ainsi que Maréchal de l’Armée Impériale et de la Garde Impériale, commandait ce rassemblement, porteur de l'Anneau donné à lui sous le précédent Empire et qui disait son autorité sur les Armées Impériales et les forces assemblées, un pouvoir confirmé par la faveur de la présente Impératrice et son rang dans les forces armées de l'Empire. Les Plaines du Sud avaient toujours été le grenier d'Orkandia et maintenant d'Eternia, on y levait facilement des armées car la population était nombreuse et l'approvisionnement facile, sans compter que bien des royaumes et seigneuries s'y étaient établis de tous temps, maintenant vassaux de la puissance éternienne. Tout en laissant des forces importantes pour assurer la tranquilité régionale et plus encore pour garder les frontières, une puissante colonne monta vers le nord et la guerre, devant normalement être rejointe, selon les accords et procédures mis en place, par une partie des forces envoyés par les Praetorii depuis le Comté de Trahers-Noctame, fief du Prince Consort Julius, époux d'Ellianne, qui mènerait ces troupes-là au combat en se joignant à Calarenne.
De toute part, les forces de guerres et de ruines convergeaient vers le Dorthonion, comme si Ellianne avait voulu faire un exemple du royaume rebelle en montrant à tous la puissance pouvant être mobilisée par le nouvel Empire même sans faire appel à toute la force des Armées Impériales... et le sort réservé à ceux qui refusaient d'entendre raison devant cette éclatante puissante. Les feux de la guerre brûlaient haut et clair sur le terrain toujours hautement inflammable d'Eternia, et l'aube rouge promise par l'Impératrice semblait bien proche...
Les galops des chevaux les plus rapides retentirent sur les pavés de la Capital et se répandirent dans tout le continent, les battements des ailes des oiseaux messagers divers emplirent l'air, bientôt rejoint par ceux que produisaient les Griffons, les Vouivres, les Dragons et tous les autres messagers volants les plus rapides, endurants et puissants qui se trouvaient alors en Etemenorkia. Ils partirent pour les quatre coins d'Eternia, porteurs d'ordres et de consignes pour quantités de gens. Il y avait là bien sûr les appels à la mobilisations, les ordres de marches et autres consignes guerrières, mais pas seulement. Ellianne ordonnait aussi la fermeture des frontières et la cessation immédiate de tout commerce avec le Dorthonion. Les marchands pouvaient s'estimer le droit de rompre unilatéralement leurs contrats sans se sentir en tord, et tous ceux qui s'aventureraient à faire la moindre affaire, à vendre la plus partie arme au royaume rebelle se verraient associés à sa ruine inéluctable. Les mercenaires qui pourraient offrir leurs service à Oradroth serraient entraînés dans le même sac que ses soldats, et on n'accepterait aucune reddition d'eux. En revanche, des commandes et des contrats furent envoyés à certains, contrebalançant ce manque à gagner.
Les plus zélés messagers atteignirent leurs destinations en quelques heures, volant sur les ailes du vent, même si elles étaient pour certaines fort éloignées. Un petit dragon messager, croisé et dressé pour sa vitesse, porteur de Magie pour le garder et le faire voler plus vite encore, se posa au cœur de la Citadelle la mieux gardée des Praetorii de l'Est avant même que la nuit n'ait totalement prit ses droits, car il avait été l'un des premiers envoyés. Son cri perçant interrompit l'Ambassadrice Impériale Kalio en pleine discussion avec sa consœur Valéria, qui parlait pour l'Archiduché d'Anok à la Cour Ducale, même si la Duchesse et Grande-Duchesse sensé régner en ces lieux et qui n'y était presque jamais se trouvait être sa propre suzeraine et Archiduchesse. Alarmées par les couleurs chatoyantes, tournant autour de l'argenté, de leur petit visiteur, les deux amies allèrent détacher son message, porteur de nombreux sceaux, et le lurent avec des yeux surpris. Mais elles aussi étaient nées et avaient été formées pour une terre pleine de guerre. Elles échangèrent seulement un regard avant de sortir de la chambre, et si elles allèrent bien retrouver la Comtesse Siana Elemanquia, comme elles l'avaient planifier, ce ne fut pas pour la soirée prévue mais bien pour aller trouver le parent de la noble, le Gouverneur Vosgiens de l'Est, qui venait de recevoir son ordre de mobilisation et de marche, au nom de sa suzeraine.
À peu près au même moment, un messager analogue arrivant en Acheron, au bord de la Mer d'Elensar, qui était le fief du Prince Volkmar, Archiduc de l'Empire et noble le plus puissant de l'Ouest. Il portait des ordres impériaux, une requête personnelle et le rappel des intérêts de la Principauté dans la chute du Dorthonion, qui pouvait se révéler un rival potentiel dans les régions occidentales de l'Empire. Le dragon devant prévenir Ombre, quelque dans la grande Forêt de Shanod, arriva plus vite encore, car la destination était plus proche. Le second Archiduché d'Eternia était lui aussi invité à la guerre, et l'Impératrice envoyait également une requête personnelle à sa Dauphine et belle-sœur bien-aimée. Un quatrième porteur d'ordres arriva plus tard dans la grande Mer elle-même, trouvant avec l'instinct et le savoir de sa race, renforcés par les sortilèges tissés en lui depuis qu'il n'était qu'un œuf, le vaisseau entre tous qu'il cherchait. Et ainsi l'Amiral des Flottes de l'Ouest commença-t-il à rassembler ses puissants navires de guerre, la flotte terrible armée par Asahi elle-même pour contrer les pirates dans les eaux de si bleues de cette étendue d'eau si meurtrière et pour faire respecter la Loi de l'Empire parmi les royaumes insulaires. Aucune guerre ne l'avait jamais touchée directement, et Ellianne avait elle aussi fait renforcer sa puissance.
« ...une puissante flotte capable de défendre Ergar contre toute attaque venant de la mer d'Elensar... »
Tels avaient été les mots de l'Envoyé du Dorthonion, mais il pourrait bientôt constater la vanité de ces paroles, car aucune flotte d'aucun royaume n'aurait pu résister à ce qui s'en venait. La force de frappe qui avait été prévue depuis longtemps contre Kaëturban mais que des réticences ou des accords secrets avaient toujours empêcher de frapper la Cité Corsaire pour de bon était enfin mise en mouvement... Contre un royaume rebelle et non contre l'unique ville qui l'avait fait naître pour contrer sa puissance. Une flotte qui ne serait pas seule, car en leurs temps d'autres messagers, moins zélés peut-être mais néanmoins rapides, à l'aune où l'on mesurait ces choses-là, virent alerter les seigneuries des îles, les appelant elles aussi au combat. Mais aucun envoyé ailé ne s'en vint à Spyréa l'Écarlate, car la magie avait déjà alerté les Seigneurs Phénix qui y résidaient encore que le besoin de leur Sœur par l'Oiseau était grand de leur soutient. De fiers vaisseaux prirent la guerre, et une flotte aérienne puissante les suivit rapidement. D'autres murmures coururent par la Magie, et une partie des Légions du Phénix, invaincues même lors de la Controverse d'Etemenorkia se mit à nouveau en marche sous le soleil d'Eternia.
Bien d'autres seigneuries encore furent prévenues, et les convois cessèrent toute marche vers le Dorthonion, revenant vers leur point d'origine ou partant dans l’autre directions en fonction des nouvelles commandes passées par l'Impératrice ou ses représentants, tandis que ceux qui en venaient étaient rapidement récupérés par qui de droit, avant que l'autorité royale n'eut l'idée de les rappeler également. Aucun des grands marchands impériaux ne prit le parti fou de croire que le petit royaume puisse vaincre le grand Empire, et les forgerons Nains récupérèrent leurs œuvres qui n'avaient pas encore atteint les frontières d'Oradroth, les revendant généralement aussitôt à la puissance éternienne, qui en ferait bon usage dans la guerre qui s'en venait. Les régiments de l'Armée Impériale qu'on avait choisis mobilisèrent rapidement, et les autres reçurent la consigne de se tenir prêts à toute éventualité. La Garde se rassembla aussi en Etemenorkia, certains pour accompagner Ellianne à la guerre, d'autres, plus nombreux encore, pour protéger la Capital contre toute agression malvenue ou toute manœuvre militaire inconsidérée d'éventuels alliés du Dorthonion ou de troubles-fêtes en mal de défis contre l'autorité.
Dans le Sud, les armées et convois se rassemblèrent autour de la bannière de l'Archiduché d'Anok, prévenu comme ses pairs par les messagers les plus rapides, et qui avait répondu avec force de celle qui était non seulement son Impératrice mais aussi son Archiduchesse. Les Comtés, Vicomtés et Baronnies militaires rassemblèrent leurs hommes, la force prévue pour répondre aux besoins impériaux fut rapidement mise sur pied. Calarenne, qui était non seulement Comte de Stergen, Gardien d’Anok et Commandant en Chef des Armées Ducales mais encore membre de l'Ordre des Capitaines ainsi que Maréchal de l’Armée Impériale et de la Garde Impériale, commandait ce rassemblement, porteur de l'Anneau donné à lui sous le précédent Empire et qui disait son autorité sur les Armées Impériales et les forces assemblées, un pouvoir confirmé par la faveur de la présente Impératrice et son rang dans les forces armées de l'Empire. Les Plaines du Sud avaient toujours été le grenier d'Orkandia et maintenant d'Eternia, on y levait facilement des armées car la population était nombreuse et l'approvisionnement facile, sans compter que bien des royaumes et seigneuries s'y étaient établis de tous temps, maintenant vassaux de la puissance éternienne. Tout en laissant des forces importantes pour assurer la tranquilité régionale et plus encore pour garder les frontières, une puissante colonne monta vers le nord et la guerre, devant normalement être rejointe, selon les accords et procédures mis en place, par une partie des forces envoyés par les Praetorii depuis le Comté de Trahers-Noctame, fief du Prince Consort Julius, époux d'Ellianne, qui mènerait ces troupes-là au combat en se joignant à Calarenne.
De toute part, les forces de guerres et de ruines convergeaient vers le Dorthonion, comme si Ellianne avait voulu faire un exemple du royaume rebelle en montrant à tous la puissance pouvant être mobilisée par le nouvel Empire même sans faire appel à toute la force des Armées Impériales... et le sort réservé à ceux qui refusaient d'entendre raison devant cette éclatante puissante. Les feux de la guerre brûlaient haut et clair sur le terrain toujours hautement inflammable d'Eternia, et l'aube rouge promise par l'Impératrice semblait bien proche...