Empire d'Eternia

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Empire d'Eternia

Forum Rôle-Play, thème médiéval-fantastique.

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    Personnages importants d’Anok

    Ellianne
    Ellianne


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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:52

    Ellianne :

    *Titres en Eternia : Impératrice d’Eternia, Archiduchesse Impériale
    *Titres en Anok : Archiduchesse d’Anok, Élue du Soleil et de la Lune (rang religieux)
    *Titres à l'Est : Grande-Duchesse de l'Est, Duchesse de Praetorius

    *Description :

    Ellianne est une jeune femme plutôt jeune, pouvant avoir à peu près dix-sept ou dix-huit ans, guère plus. Sa silhouette gracieuse et élancée est pleine d'une douce noblesse qui se reflète aussi dans ses traits. Ceux-ci, malgré son jeune âge, sont fins et délicats, emprunts d'une beauté douce, comme une fleur qui va fleurir, promesse d'une beauté plus haute quand elle se sera totalement épanouie. Ce beau visage est encadré par une longue chevelure qui, à l’origine, a été indigo, mais qui à présent se rapproche plus d'un bleu fort sombre, comme si toute teinte rouge s'était enfuie vers les deux mers carmines qui formaient son étonnant regard, capable de revêtir tant d'expressions et qui illuminait ses traits… Si ces yeux rouges pourraient paraître « spéciaux » dans l’Empire, il sont parfaitement « normaux » en Alwinion, où le rouge est une teinte fort répandue dans ce domaine.

    Au niveau vestimentaire, Ellianne porte généralement des robes d’excellente coupe, tenant ses divers rangs élevés. Bien que cet ordre appartienne officiellement au passé, l’Archiduchesse n’hésite point à revêtir des robes agrémentés de motifs pourpres ou ors, plus rarement d’autres couleurs, représentant l’Oiseau Souverain, le Phénix aux Ailes déployée, qu’elle adore toujours, ou bien Sa Flamme Éclatante. Sous celle-ci, elle porte généralement, sauf parfois, lors de bals officiels, des semi-bottes de cuir, confortables et élégantes, aptes à des activités aussi diverses que la marche distinguée, la course ou la danse, entre autres. Si elle peut porter de nombreuses parures, il y a trois bijoux qu’elle arbore toujours. Un collier et deux bracelets, faits d’alliages précieux mais bien plus résistants qu’ils ne le devraient normalement, un à chaque bras, où sont serties trois pierres d'un blanc un peu laiteux, une dans chacun, aux reflets changeants.

    Du côté des armes, elle porte souvent, accroché à sa ceinture elle aussi fort souvent décorée d‘un joyaux ou d‘un autre, généralement sur sa boucle presque toujours bellement ouvragée, une dague d'argent. Celle-ci est toutefois plus décorative qu’autre chose, ne lui servant que rarement. Car Ellianne est en-effet une puissante Magicienne, dépositaire d’une Magie bien plus anciennes que sa délicate personne, ainsi que de sortilèges sommeillant depuis dans années sans nombres dans les Brumes infinies de la Forêt d’Alwinion. Dotée d’un immense potentiel et aillant reçu dès son enfance l’enseignement de nombre de Mages talentueux, dont certains ne vivant point en Eternia mais en des terres étrangères et parfois forts lointaines, elle a prouvé ses talents lors de la Seconde Bataille d’Etemenorkia, au cours de la Controverse du même nom, lorsqu’elle mena les forces aériennes des Impérialistes au combat, n’hésitant pas à défier les puissants Dragons des Sombres Hérons. La sous-estimer dans ce domaine serait donc une grave erreur…

    Comme illustré au cours de cette même bataille, cette Magicienne spécialiste des éclaires et de la lumière se bat et se déplace aussi souvent sur le dos de son fidèle Aigle Géant, messire Servarion, faussant parfois compagnie à ceux qui sont chargée de l’encadrer. Lors des grands combats, comme lors de cette fameuse bataille sous les remparts puis dans cette ville qui est maintenant sienne, alors que le puissant oiseau porte une armure tout droit sortie des Bois d’Alwinion et parfaitement adaptée à sa morphologie, elle-même revêt une armure d’un gris blanc opalin, luisant doucement à la lumière, telle la Brume elle-même. Elle est veinée d’argent étincelant et de sombres volutes de métal noir, dessinant d’impossible figures d’un très anciens alphabet runique. Son casque léger laisse s’échapper ses longs cheveux, protégeant son beau visage tout en laissant voir ses traits harmonieux. Cette protection est celle des Élues d’Alwinion depuis que la Forêt Millénaire à accueillit la Brume, et même avec ses nouveaux rangs, elle ne semble pas vouloir s’en défaire, tant l’objet participe à son pouvoir sur la Brume et s’harmonie avec sa Magie, tout en la protégeant parfaitement.

    Son esprit, enfin, est… imprévisible. Bien que modelée par des éducations excellentes, qui lui ont donné un grand sens politique, à de nombreux niveaux, et ont renforcés ses talents innés de manipulatrice et d‘entortilleuse, elle reste une jeune femme unique. Son éducation multiple n’a fait que renforcer encore son caractère, et en dépit des lourdes charges qui paissent sur ses épaules, elle n’hésitera jamais à les laisser entre des mains capable pour s’envoler vers les Dieux seuls savent où… et encore. D’ailleurs, elle est une grande spécialiste de la délégation, ce qui fait d’elle une excellente dirigeante. Capable de juger rapidement et efficacement les gens, elle sait qu’elle tâche leur donner et comment les manœuvrer pour qu’ils l’accomplissent. En bonne petite peste manipulatrice, elle passe une bonne partie de son temps, malgré ses lourdes et diverses responsabilités, à se la couler douce, profitant de ses avantages sans subir de plein fouet le joug écrasant du pouvoir.

    Cela explique comment elle peut si facilement assumer ses diverses charges, délégant à l’un ses responsabilités impériales, à un autre ses responsabilités ducales et à une troisième ses devoirs religieux. Actuellement, elle est encore en train de consolider son « système » au niveau de l’Empire, mais nul doutes que dans quelques années elle ait mis sur pied une hiérarchie parfaitement capable de se gérer toute seule avec quelques impulsions de sa part au sein même du Palais Impérial. Elle s’y promène d’ailleurs avec le plus grand naturel, n’aillant eût aucun mal à adopter une attitude seyant à une Impératrice. Pourrie gâtée jusqu’à la moelle, le fait d’avoir été la fille adoptive de Dame Sélène a eût un effet nuancé : d’un côté elle a apprit que certaines personnes pouvaient lui interdire certaines choses, et qu’elle, de son côté, pouvait l’accepter par amour, mais de l’autre elle a aussi intégrer l’art de la noblesse et de la façon de mener le monde à la baguette dans les limites de ses interdictions… et parfois un peu au-delà, avouons-le.

    En parlant d’amour, une des dernières choses à savoir est qu’elle est incurablement amoureuse de Julius César, Comte de Trahers-Noctame et neveu du Duc Romanus Lupus, l'ancien Duc de Praetorius qui est maintenant son vassal. Bien que l’alliance de leur famille soit avantageuse sur le plan politique, et qu’elle le présenta ainsi à certains membres de sa famille adoptive au temps de leur mariage, c’est un véritable amour qui unit les deux êtres. De fait, elle peut se montrer excessivement jalouse quand il s’agit de lui, et dans ces cas-là la seule personne capable de la calmer est Medar, son Premier Conseiller. Celui-ci est l’autre pivot de sa vie, et les liens qui les unis sont complexe. Elle le connaissait avant même de le rencontrer, et il est pour lui quelque chose entre un père, un frère, un meilleur ami et un mentor, entre autres choses. Outre ces deux là, Servarion, sa mère et son frère adoptif, Firios, elle tient également à ses sujets en général, et en particulier à Calarenne, frère de Medar, qui se chargea d’une bonne part de son éducation.

    En résumé, Ellianne est un être complexe et parfois imprévisible, et son le pouvoir, tant magique que politique, fait d’elle une femme dangereuse, qu’il serait folie de négliger ou de sous-estimer…


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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:52

    Medar :

    *Titres en Eternia : Membre du Conseil Impérial et Premier Conseiller de l’Impératrice d’Eternia
    *Titre en Anok : Membre du Conseil et Premier Conseiller de l’Elue.

    *Description :

    Bien que n’aillant accepter aucun titre de noblesse en propre pour lui-même, que ce soit au niveau Impérial ou au niveau de l’Anok, et ceci depuis avant même l’avènement d’Eternia, au temps où l’Élue ne régnait que sur l’Alwinion, Medar est pourtant son Premier Conseiller tant au niveau impérial que ducal, et par la même membre du Conseil Impérial comme de celui du Duché. Intelligent, rusé, sardonique et retors, il sait se montrer d'une cruauté presque inhumaine et d'une indifférence parfaitement glacée, dans la plupart des situations. Parfaitement dévoué à Ellianne, il est lié à elle par des liens aussi étranges qu'inhabituels. Il la considère à la fois comme une fille et une sœur, et elle comme un père et un grand frère chéri. C'est également le frère de Calarenne, et certains les disent jumeaux, malgré leur manque flagrant de ressemblance physique.

    En parlant de physique, Medar, est un homme de haute taille, aux traits fins emprunts d'une beauté douce, mais dotés de leur propre force, de leur propre puissance comme scellée dans le marbre. Quoiqu'il nie farouchement toute idée d’attachement du mot « noble » à sa personne, son visage couleur d'opale, très pâle, est doté d'une certaine noblesse impossible à nier avec la meilleure volonté qui soit au monde, quoi qu'elle fût mise en retrait. Il en va de même pour ses yeux, deux yeux aussi rouges que ceux que sa Dame, comme de nombreux autres en Alwinion mais comme plus rouges encore, deux océans carmins aux reflets changeants, qui semblent, outre la grandeur voilée, trahir une ironie constante, un défi sardonique aux mondes et à leurs habitants, même si elle aussi possède par moments un certain voile, qui peu être écarté.

    Dangereux tant par son esprit acéré que par son corps, il porte toujours, quelle que fût l’occasion, officielle ou officieuse, et même pour les réceptions, sa fidèle et antique lame, Salrenk, forgée un nombre incalculable d’année plus tôt dans des lieux bien étrangers à Orkandia, et trempée dans le sang de créatures terribles et pour la plupart disparue de nos jours. Bien qu’elle reste son outil de mort de prédilection, il sait se servir de nombreuses autres armes aussi diverses que variées, de la lance au poignard en passant par la hache, la hallebarde ou le sabre, ainsi que de nombreuses autres. Car si ses pouvoirs magiques sont en cendre depuis qu’il a reparu sur les Terres d’Orkandia devenues entretemps Empire d’Orkandia et maintenant Empire d’Eternia, son talent de guerrier n’a en rien décru, et est même plus haut encore maintenant que jadis, puisqu’il n’a pas à répartir son entraînement entre deux branches distinctes de l’art de la guerre, celle des armes et celle des sorts.

    Son retour, car Medar est en vérité l’un des plus anciens « seigneurs » du continent, même s’il renie maintenant ce rang. Au-delà de son âge général, qu’il a cessé de chiffrer depuis longtemps maintenant, seul Romanus Lupus, le bourru ex-Duc de Praetorius, peut prétendre parcourir depuis aussi longtemps que lui les rues plusieurs fois retracées d’Etemenorkia, et avoir gravit en des temps aussi lointains que lui les escaliers aujourd’hui fermés au public que ce qui était alors la puissante Tour des Débats. Déjà présent lors de la Guerre contre l’Ennemi, bien qu’il n’y prit point part, il a vu passer les Rois et les Princes de ce monde, et a côtoyé jadis Dame Asahi au temps de son règne sur le continent. Officiellement disparu et porté pour mort durant le règne d’Amras Telemnar, il a reparut sous une apparence différente au cours de la Controverse d’Etemenorkia pour porter secours aux Armées du Phénix et à son vieux compagnon du temps d’Alicandia la Belle, Genghis de la Horde.

    Au niveau vestimentaire, il y a une large différente entre sa mise dans les moments officiels et celle qu’il adopte en d’autres occasions. Quand il assume sa charge de Conseiller Impérial, par exemple, il porte généralement des habits de très bonne coupe, souvent dans les tons sombres qu’il affectionne assez, ou plus rarement dans une gamme très blanches. L’ensemble est souvent parcouru de fils d’or et d’argent, parfois pourpres, violets ou noir selon les cas, formant divers motifs. Parfois purement abstraits, il arrive aussi qu’ils forment des figures géométriques ou runiques aux significations magiques forts anciennes, ou encore qu’ils représentent le Flamboyant Phénix, qu’il sert depuis longtemps, et tout aussi fidèlement qu’Ellianne. En certaines occasions bien particulières, ses tenues rappellent aussi l’autre Maître qu’il servit avec fidélité en des temps anciens, Hadès des Enfers, où exaltent l’éclatante et sublime Alicandia des Elfes Noirs, l’ancienne cité de pouvoir qui a, à son époque, rivalisée avec Etemenorkia elle-même.

    Par contre, si vous le croisez dans les rues d’Etemenorkia ou ailleurs, ce sera tout différent. Il lui arrive de revêtir une longue cape de pèlerin, faites d’un tissu sombre et robuste, qui ne laisse voir que des yeux rougeoyants au fond de leurs orbites. Il porte alors gants ou gantelets, et sous sa robe de bure il porte des vêtements simples, dans des tons sombres encore une fois, voir même simplement noir. Il va alors souvent un bâton à la main, indiscernable, de prime abord, de n’importe quel autre voyageur du continent. D’autres fois il laisse la cape de bure de côté, et ses bottes de cuir noir, confortables et pratiques sur tous les terrains, foulent alors généralement beaucoup plus vite les terres de ce monde, quand même elles touchent lesdites terres. Soldat ou mercenaire, voyageur décidé, il lui accomplit dans ces cas-là toutes sortes de choses, n’hésitant pas à revêtir les identités les plus diverses, et à prétendre aux loyautés les plus variées si cela peut lui être utile.

    À la bataille, enfin, il porte une armure légère, noire comme il se doit, lui permettant une large liberté de mouvement tout en étant aussi résistante que possible. Souvent agrémenté d’une longue cape, elle est adaptée au combat au sol, dont il possède une grande maîtrise acquise au fil des ans, même si sa grande spécialité reste les combats équestres. Un lien très profond le lie en effet à sa monture, Shuruga. Puissant, massif, le Cheval possède des yeux entièrement noirs, comme sa robe, à l’exception de ses iris d’un rouge aussi profond que le regard de son Cavalier, pareil à un volcan dormant ne demandant qu’à flamber. Capable de courir aussi vite que le vent, et de galoper pendant des jours et des jours sans s’arrêter, la créature n’est assurément pas un simple cheval malgré la façon dont Medar le nomme toujours, et il est aussi habitué à porter une armure de bataille qu’une simple scelle, ou même rien du tout. Et il est bien sûr dressé à la perfection, pouvant balancer ses sabots avec une précision redoutable si nécessaire. Il n’accepte généralement qu’un seul Cavalier, mais laisse parfois Ellianne ou Calarenne monter sur son dos quand leurs montures à eux n’est pas à disposition et que la situation l’exige.

    La dernière chose à se rappeler sur Medar, c’est son esprit tortueux et insondable. Comme on l’a déjà dit en matière d’entrée, il est très intelligent et très rusé, et n’a aucune notion du mot « scrupule ». Ainsi, il n’hésite jamais à manipuler les gens à loisir si cela peut le servir, et le mensonge comme la tromperie sont aussi naturels chez lui que la vérité, ce qui fait de lui quelqu‘un de fort habile à ce petit jeu de manipulation, aidé encore par sa voix belle et envoûtante, qu‘il sait moduler avec un art et un talent consommé. De plus, même si sa Magie est en cendre depuis son retour au monde, ne se manifestant qu’en quelques brèves éruptions qu’il ne peut prévoir et pas toujours contrôler, il dispose toujours d’un immense savoir magique et de nombreux tours chamaniques qui ne demandent qu’un peu de pouvoir extérieur pour être exploités. Capable de donner une affection bourrue à certains, il ne semble être attaché véritablement et profondément qu’à Ellianne, Calarenne et Shuruga, mais lui et son frère ont déjà fait mention d’autres membres de leur famille, notamment une mystérieuse sœur aînée ainsi que son fils… Un des très nombreux secrets qui l’entourent comme une écharpe de brume sombre, et dans lesquels il se dissimule depuis si longtemps…

    Medar, un personnage sombre et énigmatique, qui semble aujourd’hui se tenir juste derrière le pouvoir impérial, rôdant entre ombre et lumière, manipulateur et sardonique.
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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:53

    Calarenne :

    *Titres en Eternia : Maréchal de l’Armée Impériale et de la Garde Impériale
    *Titre en Anok : Comte de Stergen, Gardien d’Anok, Commandant en Chef des Armées Ducales

    *Description :

    Assumant un haut commandement dans l’armée classique, il dirige aussi la Garde Impériale, veillant avec rectitude sur l’Impératrice, qui est sa Dame, ou pour être plus réaliste vu la multiplicité de ses charges, choisissant en personne ceux qui assurent sa sécurité, que ce soit quand elle est à Etemenorkia ou quand elle réside sur ses terres d’Anok, dont il est aussi le Gardien, une autre charge qui lui prend beaucoup de temps, mais qu‘il assume avec l‘aisance que donne une longue, bien longue habitude. Il est le frère de Medar, et c'est également lui qui s'est chargé d'une bonne partie de l'éducation d'Ellianne, pour qui il est comme un frère ou un oncle, un mentor uni à elle par des liens de loyauté et d'affection profonde. Moins roué que son frère, bien moins cruel, de prime abord, il est plus impitoyablement intelligent encore, une intelligence aiguisée par des milliers de batailles.

    Réfléchit, fort, Calarenne est depuis longtemps reconnu comme un officier des plus capables dans l‘Armée Impériale, son rang étant bien loin de ne reposer que sur ses liens avec l‘actuelle Impératrice, et même s‘il a aussi, contrait et forcé, usé de politique, qui pour lui n‘est qu‘une autre forme de stratégie, pour accéder au plus hauts rangs, il les as surtout gagné au mérite, et ses capacités furent reconnues lors de la Seconde Bataille d‘Etemenorkia, où lui fût confié le commandement de l‘Armée Impériale défendant la ville. Toujours de bon conseil, ses avis sont écoutés par les siens, y compris quand ils concernent les affaires importantes de l‘Empire, ce qui lui donne un certain poids en dans celui-ci. Toutefois, il est notoire que s’il est capable de bien des choses pour les siens et particulièrement pour son frère ou sa Dame, sa loyauté pour ces deux êtres est par contre totalement absolue. Incorruptible car se souciant comme d’une guigne d’or ou de quoi que ce soit d’autre à titre personnel, sa fidélité à la cause de Medar et d’Ellianne est bien connue depuis longtemps.

    Homme de bonne taille, comme son frère, il possède des traits moins fins que celui-ci, plus rudes, plus martiaux, mais toutefois fiers, et comme tannés par les vents du monde autant que par les années, surmontés par des cheveux blancs coupés courts. Ses yeux bleus sont tout aussi sévères. Mobiles, ils semblent noter tous les détails passant à portée, et ils sont terribles, en vérité, portant en eux comme une noblesse, une majesté voilée par des brumes impossibles, ne laissant transparaître que l'autorité du commandement absolu, ne souffrant nulle contestation. Sa voix est dans la même veine : forte, puissante, habituée à donner des ordres en pleine bataille et à les relayer dans la tourmentes, habituée aussi à être écoutée et obéie au quart de tour, elle est rude mais sonore, ne possédant pas la même aisance que celle des grands orateurs de ce monde, mais aillant tout de même raisonnée de nombreuses fois dans les salles de la Tour ou des Ambassades au fil des ans, bien que cela ne soit pas toujours à la plus grande joie de son propriétaire.

    Calarenne préfère en effet une bonne bataille ou un échange verbal simple dans un camp à une longue discussion diplomatique dans un bâtiment politique, mais les années l’ont forcé à prendre l’habitude des trois. Ne pas savoir s’adapter signifiant généralement périr pour les hommes comme lui, il a prit son partit de la situation, et manie aujourd’hui les mots sinon avec la même adresse que son frère ou la même aisance que sa Dame du moins avec un talent qui porta ses fruits par le passé. C’est peut-être parce qu’il est par contre très à l’aise avec des concepts comme la ruse et le mensonge, qui ont toujours fait partie de ses stratégies, qu’il a si efficacement réussi à se couler dans cette autre sorte d’affrontement qu’est la politique. Aillant jadis juré fidélité à Asahi et aux Cinq en tant que Capitaine de la Gare, il a déjà prouvé qu’il ne considérait pas ce serment comme s’étendant aux Gardiens de la Capital ou aux « loyalistes », et maintenant qu’Asahi comme les Cinq et jusqu’à leurs représentants, les Gardiens des Clés, ont disparu, il se considère comme libre de cet engagement.

    Au combat, il s’en va vêtu de son antique armure, faite d’un acier rendu terne par les expositions aux brumes du Sommeil puis à celles de l’Alwinion, mais extrêmement résistant, qu’il porte depuis qu’on l’a vu pour la première fois en Orkandia, bien des années plus tôt, car Calarenne est l’un des plus anciens représentant politique de ces terres. Il possède deux armes fétiches, Lirienne, son épée longue de guerre, et Sila, son fidèle poignard, mais sait user de nombreuses autres armes, particulièrement la lance de cavalerie, et sait fort bien faire usage d’un écu. Lui aussi possède un Cheval de la même race que celui de Medar, Silvas, capable des mêmes performances et possédant un lien semblable avec son Cavalier, et est bien plus redoutable une fois monté sur lui. A pied, il a le niveau d’un Impérial de base, mais sur sa monture il est capable de rivaliser avec les meilleurs Capitaines et Chevaliers, et même généralement de les battre.

    Cette tenue est aussi agrémentée, outre les pantalons et tuniques qui changent plus souvent que le reste, de bottes de cuir polyvalentes et d’une longue cape brodée de fourrure. Bien qu’aillant accès virtuellement à toutes les richesses de l’Anok et indirectement de l’Empire, il ne porte généralement pas d’autre tenue dans le civil, son armure donnant directement le ton de ce qu’il est : un cavalier et stratège émérite. Mais il est également un excellent gestionnaire, aillant fait fonction pendant de longues années d’Intendant à son frère puis à Ellianne, et ensuite de Gardienne de l’Alwinion puis de l’Anok. L’un des deux seuls bijoux qu’il porte jamais est d’ailleurs son Anneau d’Intendant, une bague toute simple sertie d’une unique pierre blanche laiteuse qui brille parfois doucement. Le second objet de luxe que l’ont peut trouver sur sa personne est un second anneau, l’Anneau Impérial, l’Anneau de Saphir, marque de son autorité sur les troupes de l’Empire, donné à lui lors de la Controverse d‘Etemenorkia comme signe de son nouveau commandement.

    Du côté des relations, il a, tout comme Medar, fait mention en certaines occasions de sa famille, et notamment de sa sœur aînée et de son neveu, fils de celle-ci, et est également fort attaché à sa monture. Toujours à l’instar de son frère, il est fort attaché à celui-ci et à Ellianne, en plus de la forte loyauté qui le lie à ces deux êtres. Par contre, son potentiel relationnel plus large est loin d’être aussi bon. Sa façon de faire lui vaut parfois - voir souvent - quelques inimités. Ainsi, bien qu’il n’ait rien de particulier contre eux, il en vient souvent à être en froid avec les Praetorii, qui, bien qu’ils se soient très souvent trouvés alliés de façon plus ou moins proches dans les périodes « de paix », notion toute relative en Orkandia, ont toujours fini par se retrouver dans le camp opposé aux siens lors des grandes guerres, alors même qu’ils partaient toujours dans le même. Lors de la Quête de Succession, ce fût lui qui les trompa en leur faisant croire qu’il se rangeait à leur côté et en sabotant une partie de leur assaut, lors de la Controverse d’Etemenorkia ce sont eux qui ont trahis le camp Impérialiste. Les deux fois, les faits lui donnèrent raison, sous les remparts de la Capitale…

    Il a donc beau avoir une bonne compréhension de fond de la société Praetorienne, bien meilleure que celle de presque n’importe qui en Eternia, puisqu’il a eût l’occasion de la voir de l’intérieur et a collecter indirectement de nombreuses autres informations sur eux, il lui arrive souvent de ne pas être en accord avec leurs valeurs ou leur façon s’interpréter la loyauté due à telle ou telle chose. Par exemple, il a toujours considéré Asahi comme la déléguée du pouvoir des Cinq, et la présence d’Amras et de Gorath au pouvoir comme une succession bonne et naturel, puisqu’ils formaient avec Nabuchodonosor, qui fini par se ranger sous leur bannière, les seuls Gardiens des Clés restant. Cela l’a souvent mit en porte-à-faux avec Romanus Lupus, maintenant ex-Duc de Praetorius, et des divergences avec Vosgiens, son second, se sont récemment marquée de la même manière. Il respecte pourtant les deux hommes pour leur valeur toute militaire malgré la futilité de leurs choix politiques, et est heureux de les avoir pour alliés, même s’il ne leur fait plus confiance depuis longtemps… Quoi que, d’un autre côté, il fait rarement confiance à qui que ce soit, de toute façon.

    Droit envers ceux en qui il considère devoir être loyal, incorruptible dans son service à Medar et Ellianne, Calarenne est un être qui n’hésitera pas à user de ruse, de mensonge voir à se faire considérer par félon par certains pour les intérêts de ces deux-là, qui sont maintenant devenus, depuis l’arrivée au pouvoir d’Ellianne, les intérêts de l’Empire…
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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:53

    Julius César :

    *Titres en Eternia : Prince Consort de l’Empire d’Eternia
    *Titre en Anok : Époux de Madame l’Archiduchesse d’Anok, Consort du Duché d’Anok
    *Titres dans l'Est : Comte de Trahers-Noctame; Époux de Madame la Grande-Duchesse de l'Est

    *Description :

    Époux de l’Archiduchesse, il est unie à elle par un amour presque douloureux tant il est fort autant que réciproque. C'est l'aîné des deux neveux adoptifs de Romanus Lupus, l'ex-Duc de Praetorius, dont il est également le vassal en tant que Comte de Trahers-Noctame, quoi qu‘il fût Prince Consort de l‘Empire d‘Eternia. Approchant des deux mètres de hauteur, il a dans la vingtaine d'années, avec une fine moustache et des yeux bleus. Sa femme est l'être qu'il aime le plus dans tout l'Univers, ce qu’elle lui rend bien, et il ne peut jamais lui résister longtemps quand elle veut quelque chose, prêt à tout pour la protéger, bien qu'il reste fidèle à sa patrie d'origine... Heureusement, ces deux loyautés n'ont jamais encore été opposées sérieusement l'une à l'autre jusqu'ici...

    Julius a aussi reçu la meilleure formation militaire de Praetorius, et a de nombreuses fois menées des armées au combat. Il possède des capacités de stratèges impressionnantes, et est un guerrier tout à fait capable. En outre, il possède de nombreux atouts dans sa manche, pouvant jouer le rôle de diplomate habile ou de gestionnaire compétent, par exemple. L’Archiduchesse affirme aussi, tout en défendant à quiconque de penser même à vérifier, qu’il est capable de prouesse dans des domaines plus… personnels, comme ceux qui requièrent un lit, deux participants et une bonne dose d’intimité…

    Alwine :

    *Titre en Anok : Comtesse d’Alwinion, Damoiselle de la Forêt (titre religieux)

    *Description :

    Alwine est une Fée assez jeune, approchant seulement de son cinquantième anniversaire, et aillant l’apparence d’une jeune fille, de peut-être treize ou quatorze ans, maximum, et on lui en donnerait plutôt treize. Comme toutes les représentantes du peuple féérique d’Alwinion, elle a hérité de ses ancêtres une grande beauté qui, à son âge, se traduit par une apparence irrésistiblement mignonne. Ses cheveux blancs mi-longs, lui arrivant un peu au-dessus des épaules, s’harmonisent parfaitement avec la couleur habituel de ses vêtements, à savoir le blanc des Princesse du Peuple des Fées. Elle affectionne les robes jolies mais pratiques, comportant un collier de fourrure mais lui laissant sommet du torse, les épaules et le haut des bras nus, et conçues de façon à pouvoir la laisser courir ou même chevaucher une créature équestre, comme une Licorne ou un cheval. Sa peau claire et douce se marie parfaitement avec tout cela, mais l’ensemble ne fait que faire ressortir plus encore son regard carmin, répandus en Alwinion, et plus encore dans son Peuple et sa famille.

    Au niveau mental, Alwine est sans aucun doutes… Folle. Véritable petite peste versatile, elle est capable de papillonner d’un sujet apparent d’intérêt à un autre avec légèreté. Toutefois, elle est totalement dévouée à Ellianne, qui est sa supérieure dans l’ordre religieux traditionnel de l’Anok, consacré au Soleil et à la Lune. Lors de la Bataille d’Etemenorkia par exemple, malgré ses facéties diverses, elle resta déterminée sur les divers objectifs que sa Dame lui alloua, finissant notamment d’abattre la barricade extérieure du Concile avec l’aide de ses Feux-Follets. Alwine est en effet une magicienne, spécialisée dans le soin et la magie sylvestre, capable de coupler ses pouvoirs à ceux des autres créatures magiques de la Forêt des Brumes pour les décupler, quoique le prix en soit souvent élevé sur le long ou parfois le moyen voir le court terme pour lesdites créatures. Par exemple, les Feux-Follets susmentionnés ne survécurent pour la plupart pas à l’assaut magique qui ouvrit une large brèche dans la barrière déjà fragilisée.

    Régnant d’une main douce mais avec une autorité absolue sur l’Alwinion dont elle est la Damoiselle, elle respecte la plupart du temps le protocole dans la Clairière du Soleil et de la Lune, siège de son pouvoir, mais le laisse généralement tombé en dehors… et même parfois en dedans. Très semblable à Ellianne quand celle-ci a prit la tête de la Forêt des Brumes, sa suzeraine a grandit beaucoup plus vite qu’elle, sur tous les plans, mais cela ne l’a jamais dérangée le moins du monde, elle se plait bien ainsi. En outre, il faut préciser qu’elle est la petite sœur de sa vassale Sarissa, la Baronne des Forts Sauvages, Générale de l’Armée Impériale et Commandante en Second des Armées Ducales, mais aussi Chef de Guerre de son Peuple et par la même placée depuis toujours selon son autorité, le vasselage étant donc tout naturel une fois que l’Anok eût adopté son actuelle hiérarchie. Être au-dessus de son aînée l’a d’ailleurs toujours beaucoup amusé, même s’il en a toujours été ainsi…

    Personnages importants d’Anok 302xnar-1536e16

    Ecand :

    *Titre en Anok : Vicomte de Mélovine

    *Description :

    Ecand est un Humain tout ce qu’il y a de plus ordinaire, sans le moindre gramme de Magie dans les veines. Homme simple et pratique, il fût en son temps l’élève de Calarenne, et on le cru mort lors de la prise de la première Anok. Il avait en fait été récupéré par Medar, qu’il considère toujours comme son Maître, et fût rendu à l’Alwinion devenu rapidement une nouvelle Anok après la fin de la Controverse d’Etemenorkia. Ancien esclave de la primitive Tribu Orque de Saint-Medar, sa profonde fidélité et son profond attachement à Medar datent de cette période quand il le sortit de sa hutte puante pour le prendre à son service, et le fourrer bien entendu dans les pattes de Calarenne. Il a d’ailleurs toujours un respect immense pour le Comte de Stergen, et il serait assez difficile de trouver une situation ou il ne le suivrait pas sans hésité tant il a confiance en lui. Au temps de la Cité d’Anok, il s’est aussi fortement attachée à Ellianne, d’abord par simple devoir, ensuite par affection pour cette jeune fille si attachante, qui fût d’ailleurs ravie de le revoir.

    Physiquement, c’est un homme rude, aux yeux d’un brun noisette, ni gros ni mince, possédant des muscles solide à force d’entraînement à la tête de ses troupes et d’aide occasionnelle dans les champs. Il porte généralement des habits simples, sans prétention, apte à la vie directe qu’il mène. Ses cheveux sont devenu blancs-gris sous les épreuves qu’il a vécu et le passage des années, même s’il n’a guère plus de trente ans. Bien qu’il soit un guerrier capable et un bon stratège, connaissant nombre de tactiques, il préfère aujourd’hui les activités agricoles, quoiqu’il ne laissera jamais sans défenses son archiduché. Il possède surtout d’excellentes capacités de gestionnaires, tant en logistique militaire qu’en agriculture civile, et les met redoutablement à profit dans sa nouvelle affectation. Érudit, il apprécie aussi la lecture, le soir, après une bonne journée de travail, et a écrit quelques essais, dont certains trouvèrent quelques échos au temps de l’ancienne Anok, traitant majoritairement de cette dernière sous tous les angles, des unités à l’organisation du territoire.

    C’est donc un homme simple et carré, totalement dévoué à l’Archiduchesse et à son Premier Conseiller, et faisant toute confiance au Gardien de l’Anok en cas de coup dur…

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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:54

    Aravin :

    *Titre en Anok : Vicomte de Sorienne

    *Description :

    Vétéran de nombreux conflits, dont la Controverse d’Etemenorkia, Aravin est un Centaure dans la force de l’âge, membre du Conseil des Sages de son peuple malgré son « jeune » âge - il n’a même pas de cheveux blancs, tout de même ! - mais aussi Chef de Guerre depuis plusieurs années maintenant, ce qui le rendait tout disposé, entre honneurs et compétences, pour prendre le rang de Vicomte des vastes plaines de l’Ouest. Bien que toujours fort attaché à la Forêt des Brumes, il a accepté avec joie, aillant prit goût aux larges étendues dégagées lors du combat contre la Coalition, qui fût long et géographiquement étendu malgré son point-culminant à la Capitale. Il a aussi réussi à entraîner son Peuple derrière lui, en faisant sortir un grand nombre des Bois Brumeux de façon au moins semi-permanente, notamment en distribuant certains postes-clés aux Centaures, leur assurant ainsi une bonne représentation politique et l’assurance d’une position stable en Sorienne.

    Bien que parfois fougueux au combat, Aravin n’a en effet pas usurpée sa position parmi les Sages, bien qu’il ne soit pas le meilleur pour interpréter les signes dans la lecture desquels ses plus vénérables confrères sont spécialistes. Très attaché à son devoir et donc dévoué à la Dame ainsi qu’à tous ceux qu’elle juge bon de désigner pour commander au-dessus de lui et respectant aussi grandement les avis de ses pairs, il est personnellement partisan d’intervenir seulement quand c’est leur intérêt, et de préserver avant tout l’Anok et plus encore l’Alwinion, n’hésitant pas, si le choix lui est laissé, à sacrifier des vies « étrangères » pour la sécurité des Bois des Brumes. Ainsi, il était de ceux qui voulaient laisser les Drows d’Ombretueur s’entre-tuer avec leurs collègues des profondeurs lors de la guerre qui opposa se royaume à des fidèles de Loth, mais marcha tout de même avec bravoure à la guerre lorsque la Damoiselle, aujourd’hui Comtesse d’Alwinion, trancha pour l’aide aux terres de la belle-sœur de leur Dame.

    Physiquement, Aravin est un Centaure fort et puissant, à la robe brune, avec des cheveux et une queue noire. Son corps véloce et résistant est adapté à la guerre, et la partie humaine de celui-ci, musclée et robuste, est dotée d’une beauté franche et sauvage, perceptible jusque dans les traits de son visage et son regard vert étincelant comme des émeraudes. Au combat, il porte, au choix, une armure légère ou une plus lourde, selon le type de bataille, mais ne quitte que rarement ses armes, en temps de conflit ou non. Comme la plupart des Centaures d’élite d’Alwinion, il est un excellent archer, mais manie aussi très bien, outre la lance si répandue en Eternia chez les siens, l’épée et le bouclier de métal avec brio, et il porte généralement l’ensemble sur lui. Guerrier émérite, excellent meneur d’homme, surtout quand ils sont de sa race et pas mauvais tacticiens, c’est un officier apprécié depuis longtemps par le commandant des forces de la Forêt des Brumes, à savoir Calarenne.

    Enfin, il faut savoir qu’Aravin est mariée à une belle centauresse du nom de Brénia, Chevalière de Torgos, qui est bien loin d’être une petite pouliche effarouchée se laissant mener par le bout du nez… Il l’aime toutefois tendrement, même si son caractère fier le laisse généralement fort peu montrer en publique. La dame, modérément jalouse, participe bien entendu à la vie et à la direction du Vicomté, d’autant que son petit Clan est celui qui garde et protège le Vicomte… Sauf contre elle, bien sûr.

    Personnages importants d’Anok Img_centaure-1--14cb0d

    William Rocherivière :

    *Titre en Anok : Vicomte de Lavior

    *Description :

    William, ou Wil’ comme on l’appelle couramment, est un Hobbit, élu par ses administrés plusieurs années comme Maire, et qu’Ellianne a choisit de placer lors lors de l’expansion et de la réforme qui suivit comme Vicomte de Lavior, la riche terre du Sud propice à l’herbe à pipe. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça le connaît, l’herbe à pipe, tant du côté production que du côté consommation. Totalement dévoué à sa Dame, il ne demande rien tant que de vivre sa petite vie tranquille de Hobbit en faisant fructifier son domaine peuplé majoritairement de Semi-Hommes et d’Humains, auprès de qui il est très populaire, tant personnellement que pour sa façon de gérer la terre. Jovial et toujours ouvert à la discussion, mais sachant être ferme quand la situation l’exige, il suit les demandes de ses supérieurs hiérarchiques, tout en faisant au mieux pour la population placée sous sa responsabilité et pour les productions dont il a la charge, surtout celle de l’herbe.

    Physiquement, c’est un Hobbit banal et sans prétention. Relativement jeune mais déjà doté d’un bon ventre replet, il garde des vêtements simples et ne porte généralement même pas de chaussures. Avec ses yeux bruns et ses cheveux assortis, il se fond dans la masse, et la pipe qui semble vissée éternellement à ses lèvres ne le distingue guère plus…

    Personnages importants d’Anok Hobbit

    Wulvorg :

    *Titre en Anok : Baron des Forts du Soleil, Chevalier de Fort-Soleil, Grand Maître des Serviteurs d’Oropt (rang religieux)

    *Description :

    Wulvorg est avant tout et par-dessus tout le Grand Maître des Serviteurs d’Oropt, un culte religieux qu’il a jadis fondé en personne, du temps de l’Anok originel, de la fière et puissante Citée perchée sur sa colline, avant l’arrivée des Hobbits, à peu près à l’époque de l’apparition d’Ellianne. Il est le cœur et le moteur du culte, et malgré les années et les épreuves sa vitalité reste intacte et il n’a pas prit l’ombre d’une ride. Formidable meneur d’homme, il est expert en discours qui qui motivent ou qui endoctrinent, il sait mener ou envoyer ses hommes au combat jusqu’à la mort, et possède un charisme très fort, capable d’entraîner des foules par quelques paroles ou le simple poids de l’exemple, en chargeant simplement et en étant sûr d‘être suivit par une masse. Également guerrier émérite, il tient encore l’épée haute face aux meilleures de ses jeunes recrues, disposant d’une excellente technique et d’une force qui semble souvent presque surnaturelle à ceux qui l’affronte pour la première fois.

    La rumeur, qui est une croyance bien ancrée chez les Serviteurs, veut que sa force, tant physique, au combat ou face aux années, que spirituelle, lui vienne directement d’Oropt, le Seigneur-Soleil. Wulvorg n’est d’ailleurs pas un quelconque chef de guerre ambitieux et manipulateur. La personne qui croit le plus en le culte qu’il a fondé c’est sans aucun doutes lui-même. Véritable fanatique, il a fondé son Ordre sur vision du Dieu de Lumière et reçoit encore
    encore parfois sa visite. Certains sceptiques en doutent parfois ouvertement, mais comme l’a un jour fait remarquer Calarenne avec un sourire en coin, au temps de la Cité Noire, c’est de toute façon une affaire entre son Dieu et lui, que ledit Dieu existe et se manifeste ou pas. En tous cas, Wulvorg est toujours prêt à risquer sa vie, et il l’a déjà fait souvent au fil des ans, le fait qu’il en soit toujours ressortit vivant prouvant assez si besoin en est sa valeur guerrière, ou la faveur d’une quelconque déité… Ou les deux, au choix.

    Physiquement, Wulvorg est un homme puissamment bâtit, aux traits rudes et dotés d’une beauté franche et sauvage, sauvagerie soulignée par les cicatrices qui couturent son visage encadré par des cheveux d’un blond très clair, presque blanc, coupés courts. Il porte les tenues simples des Serviteurs, à savoir la robe de bure avec côte de maille ou l’armure complète à la bataille, toujours agrémentée de son épée lourde et parfois de son bouclier au combat. Ce n’est pas sa mise qui le distingue, c’est sa simple aura. Dévoué jusqu’à la mort et au-delà au Seigneur Solaire, ce dévouement a toujours été reporté sur l’Anok et l’Alwinion, ainsi que sur leur Dame, Calarenne et le mystérieux Medar. Une histoire de Dieu et de ses visions, visiblement… Mais quoi qu’on pense de ses motivations, Wulvorg est un homme redoutable et redouté, à qui le Protecteur et Gardien n’a pas confié nombre de points-frontières par simple hasard, loin de là, car il commande à un groupe puissant, de plus en plus nombreux à nouveau, unit, bien entraîné et bien équipé.

    Mieux vaut ne pas sous-estimer les Serviteurs d’Oropt et leur Grand Maître…

    Personnages importants d’Anok Wulvorg-243871c
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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:55

    Sarissa :

    *Titres en Eternia : Générale de l’Armée Impériale
    *
    Titre en Anok : Baronne des Forts Sauvages, Commandante en Second des Armées Ducales

    *Description :

    Princesse Guerrière des Fées d’Alwinion, Générale de l’Armée Impériale, Baronne des Forts Sauvages et Commandante en Second des Armées Ducales, Sarissa est une représentante du peuple féérique encore assez jeune, n’aillant même pas deux siècles d’existence derrière elle. Bien sûr, la synergie parfaite de son peuple avec la nature lui a conservé un air bien plus jeune, et elle a en apparence entre vingt et trente ans. Assez grande, elle est aussi très belle, avec sa silhouette fine et harmonieuse. Presque toujours toute de blanc vêtue, elle a en outre de longs cheveux d'un bleu profond, ornés d'une délicate fleur, et est également armée en quasi-permanence de deux lames, longues et fines, celles qui échoient traditionnellement à la Princesse-Cheftaine de Guerre de sa Race en Alwinion. Son regard carmin est acéré et vigilant, capable de détecter tant les dangers autours d’elles et des siens que de trouver une faille dans une défense.

    Car Sarissa, malgré sa beauté, est une redoutable guerrière, sa souplesse et sa grâce étant aussi dangereuses que plaisantes pour les yeux. Outre le fait qu’elle manie, en plus de ces deux lames fétiches, un grand nombre d’armes légères avec brio, elle a aussi de nombreuses capacités nécessaire à toute Cheftaine de Guerre qui se respecte, ses rangs dans les Armées Impériales et Ducales ne tenant pas seulement à son rang dans son peuple et en Alwinion. Parmi lesdites qualités, les plus frappante sont sa ténacité, son don pour galvaniser des troupes, et surtout sa capacité inné à repérer les erreurs de l’ennemi avec rapidité et à les exploiter. Sans compter bien sûr son intelligence et sa ruse… Elle démontra notamment cette gamme de compétences lors de la Controverse d’Etemenorkia toute entière, quand elle mena de nombreuses petites armées alwinionaises et phénix au combat contre la Coalition et plus particulièrement lors de la Seconde Bataille de la Capital où elle assuma le commandement d’une partie des assaillants au cours de la prise de la ville.

    Totalement dévouée à sa Dame, qui est maintenant aussi son Archiduchesse et son Impératrice, Sarissa est en outre au service naturel de sa petite sœur, Alwine, sous le vasselage de laquelle elle a été naturellement placée lorsque l’Anok naissante a été structurée selon les titres Impériaux. Respectueuse de la hiérarchie et formelle, elle a le plus grand respect pour les autres plus grands personnages du Duché, à savoir Medar et Calarenne, quoi qu’elle se méfie toujours un peu du premier. Celui qu’elle porte aux autres nobles est parfois mitigé, quoique certains autres soient comme des frères de bataille pour elle - et souvent même pas « comme » - mais sa noblesse innée et sa politesse glacée n’en laissent rien voir ouvertement et directement, bien entendu…

    Fidèle, compétente, et exigeant des autres autant qu’elle donne elle-même, Sarissa est un élément de valeur dans la noblesse de l’Anok…

    Personnages importants d’Anok 090626100432607153956388-1536ee0

    Grorg :

    *Titres en Eternia : Général de l’Armée Impériale
    *Titre en Anok : Baron de Mélchirion, Commandant en Second des Armées Ducales, Champion de la Dame et du Maître (rang honorifique)

    Grorg est l’un des plus anciens serviteurs d’Ellianne et de l’Anok, le plus ancien après Calarenne et Ecand. Déjà au service de Medar du temps précédant la création de la Première Cité d’Anok, il assume depuis tout ce temps la fonction de Champion du Maître, puis de la Dame, et prend cette charge très au sérieux, quoi qu’il ait parfois dû la céder à d’autres au cours de ses dernières années, mais toujours sur l’insistance de l’un ou de l’autre de ceux qu’il doit représenter. Et, en le voyant, peu de gens pensent même à remettre en cause l’honneur desdits représentés. Grorg est un effet un Demi-Troll de l’ancienne Valée Noire, et il ne faut pas se laisser abuser par ce « demi ». Les Trolls de la Vallée Noire étant des créatures aussi colossale qu’abyssalement stupide d’un point de vue Troll, lesquels sont déjà grands, forts et peu futés dans leur généralité, leur rejeton abâtardit fait tout de même plus de trois mètres de haut et est doté d’une puissance musculaire égale sinon supérieure à celle d’un Troll de Guerre classique d’une bonne armée orque.

    Toutefois, ce qui le rend si dangereux, c’est qu’outre sa force et sa taille hérités de sa mère, il tient aussi de son père - dont on ne connaît ni l’identité, ni la race, ni comment il est tombé entre les pattes de la Trollesse ni même s’il a survécu à l’accouplement - une intelligence bien plus grande que celle du Troll moyen. Sans être un génie, il est aussi intelligent que bien des Humains, et plus que bien d’autres. De plus, cet étrange métissage lui as conféré une résistance absolue au contrôle mental ou à toute forme de magie psychique, ce qui fit que son engagement dans les rangs de l’armée de la Tribu alors dirigée par Medar, quand celle-ci asservit son peuple, fût volontaire. Grorg est d’ailleurs d’une fidélité absolue et quasi-fanatique à celui qu’il appel toujours « le Maître », fidélité qui c’est dédoublée, avec le temps, sur cet adorable bout de femme qu’il appel Élue, Dame, rarement Ellianne, et toujours pas « Majesté », « Votre Grâce » ou « Impératrice », non par manque de respect - que du contraire - mais plutôt parce qu’il la voit toujours comme l’Élue et la Dame avant tout.

    Mais Grorg, avec sa carrure impressionnante et sa face assez bestiale, dotée de crocs capables de broyer un os quand cela lui prend l’envie - soit assez rarement - est aussi, en plus d’un grand guerrier, un général compétent. Formé sur le tas par Calarenne et Ecand principalement, il est aujourd’hui capable de mener une armée tout en fendant de haut en bas un ennemi de sa colossale hache de guerre à une ou deux mains, ou en plantant dans la gorge d’un adversaire trop proche l’épée courte qu’il utilise comme une dague. Son armure de guerre en a vu de toutes sortes, et a été de nombreuses fois réparées voir changée, et il est totalement incapable d’être autre chose que la brute bourrue et affectueuse avec ceux auquel il tient qu’il est. C’est aussi un formateur tout aussi bourru et sans pitié pour ses élèves, distançant en personne des formations aussi rudes que capables de développer les potentiels les plus coriaces. Ou de faire mourir, d’épuisement ou d’autre chose, ceux qui n’ont vraiment pas ledit potentiel… Mais un petit dommage collatéral de temps en temps, qu’est-ce que c’est, hein ?

    Outre sa loyauté double, Grorg a aussi du respect pour de nombreuses personnes, en Anok ou ailleurs, et donne parfois des conseils abrupts mais juste. Il aime profondément Ellianne, comme si elle était sa propre fille, et donnerait son âme sur un mot de Medar. C’est plus pour cela que par devoir qu’il écrabouillerait et hacherait menu quiconque voudrait leur faire du mal, d’ailleurs. Il s’entend très bien avec Ecand et Nacromia, pour tout un tas de raisons, notamment pour leur engagement commun et la longueur de leur relation, mais aussi par nature même. Et si Grorg a relativement peu d’amis - il fait généralement peur, allez savoir pourquoi - toucher à ceux-ci en sa présence n’est pas vraiment le meilleur moyen d’avoir une longue et heureuse vie par la suite…

    Loyal, dévoué, bourru, attentif et incorruptible, Grorg est un roc solide en temps de paix et un foudre de guerre qu’il vaut mieux ne pas amener à déclencher un conflit contre soi…

    Gragrarorgar :

    *Titre en Anok : Baron de la Ceinture de Shvargar

    Gragrarorgar est un Minotaure, et non des moindre parmi son Peuple, dans lequel il exerce une influence non-négligeable. D’abord parce qu’il est assez vieux et sage, quoique connaître son âge exact soit impossible car les habitants des Dédales d’Alwinion se refusent à communiquer leur calendrier au reste du monde, même le monde confiné par la Forêt des Brumes. Ensuite, parce que c’est un guerrier redoutable et redouté, chose indispensable pour se faire entendre dans cette société guerrière et parfois barbare quand on est pas un vieux sage aux poils blanchis sous le passage des ans. Bien qu’il sache manier avec brio la hache de guerre, la masse d’arme ou même la hallebarde ou la lance, au besoin, son arme de prédilection reste l’épée, et plus particulièrement Shkorva, son épée bâtarde, née dans les forges profondes perdues dans les méandres des Labyrinthes de la Brume dans une époque inconnue de tous, qu’elle fût proche ou lointaine.

    Doté de longs poils noirs et de muscles impressionnants, Gragrarorgar fait fi de bouclier et ne consent à porter une armure légère que pour les batailles d’importances, bondissant dans la mêlée telle une furie sauvage porteuse de la Rage qui cours dans les veines de siens. Mais ce n’est pas qu’une brute sans cervelle, car il est rusé et doté, outre la sagesse dont il fait preuve dans les moments de paix, d’un sens guerrier remarquable, particulièrement dans la défense, tâche traditionnellement dévolue à son Peuple dans la société alwinionaise et qui lui est encore retombé dessus - à son grand plaisir - avec la création de la Ceinture. Il est loyal et fidèle à la Dame et la Damoiselle et c’est l’une des raisons qui lui ont valu de se voir confier la garde de Shvargar.

    Mélange savant de sauvagerie, de fiabilité et de talent, Gragrarorgar assume avec honneur la charge de gardien fidèle des éternels Bois des Brumes et des secrets qu’ils renferment…

    Personnages importants d’Anok Gragrarorgar-24271d0

    Ysvarinion :

    *Titre en Anok : Banneret de Fort-Lune

    On sait peu de choses d’Ysvarinion de la Nuit, si ce n’est qu’il est le Porte-Parole des Messagers de la Nuit, ce qui se rapproche le plus d’un chef déclaré et unificateur, vu de l’extérieur. D’une façon générale, on en sait de toute façon peu sur les Messagers en eux-mêmes, si ce n’est qu’ils ont certains point d’accointance avec les Serviteurs d’Oropt et son selon toute vraisemblance un ordre religieux, eux aussi, quoique suivant une déité différente. Ils disent seulement « la Dame », et ne cherchent pas spécialement à convertir qui que ce soit. La seule différence entre Ysvarinion et les autres Messagers, c’est qu’il est un peu plus bavard, ce qui d’un autre côté n’est pas bien difficile. C’est lui qui réceptionne les ordres de Calarenne à Fort-Lune et lui qui représente les siens quand ils ont besoin d’être représenté, et c’est à peu près tout. On ne sait pas si c’est vraiment le chef de tout leur ordre, ou même s’ils ont un chef unique d’ailleurs, car les plus éclairés pensent que le titre est principalement destiné à lui donner un certain poids quand il parle.

    C’est pourtant et de façon indubitable l’un des chefs des Messagers, car on l’a vu conduire des sections d’entre eux au combat, mais il n’est pas le seul à assumer cette charge. En outre, au niveau personnel, c’est l’un des meilleurs cavaliers de son ordre, ce qui n’est pas une mince affaire avec eux, sans compter qu’il monte l’un des meilleurs parmi les excellents chevaux des Messagers, et qu’il est un guerrier émérite, aillant déjà laissé derrière lui un long sillage de morts et de blessés. Bien qu’il ne dise pas grand-chose au cours des réunions stratégiques, quand il parle, il est écouté, car ses avis sont souvent sagaces, ce qui est sans doutes une des raisons majeures pour lesquelles il a été mis à ce poste.

    Silencieux, sage, mystérieux, efficace et mortel, Ysvarinion est le parfait représentant des Messagers de la Nuit…

    Nacromia :

    *Titre en Anok : Banneret de la Clairière du Soleil et de la Lune

    Nacromia est l’un des plus anciens parmi les serviteurs de Medar puis d’Ellianne, juste après Calarenne, Ecand et Grorg. Jadis esclave lors de la construction de la Première Cité de l’Anok, il a, comme tous les autres à l’époque, été émancipé lorsque le ville fût construite. Contrairement à ce que l’on pourrait croire logiquement envers un homme qui l’a forcé à abandonner sa vie pour trimer à achever la construction d’une cité démente en exterminant la quasi-totalité de son peuple dans la manœuvre, que ce soit lors de leur capture ou pendant les travaux, l’Elfe - car s’en est-un - développa rapidement, comme de nombreux anokiens d’alors, un dévouement total et presque fanatique pour « le Maître ». Les raisons furent du reste variée, mais pour Nacromia c’était très simple : la construction de la puissante Citadelle d’Anok et de la ville au pied de son Mont lui avait donné un véritable but dans la vie, et il choisit de le suivre. Peut-être l’insidieuse Magie Chamanique de la Tribu de Saint-Medar fût-elle à l’origine de ce choix, peut-être pas, nul ne peut le dire et lui-même ne s’en soucie pas.

    Après toutes ces années, il est toujours aussi dévoué à Medar, et au moins autant, si ce n’est plus, à la belle et douce Ellianne. Il pris une part active dans l’éducation de la jeune fille, lui apprenant les arts de la noblesse, le chant ainsi que l’utilisation de divers instruments. Car, s’il est un guerrier tout juste passable et fait un Mage assez médiocre, Nacromia est par contre un barde d’exception, jouant de la flûte et de la harpe avec un art exquis pour les oreilles et disposant d’une voix magnifique dont il sait se servir à merveille. S’il n’est pas le meilleur au combat, on ne survit pas si longtemps dans des terres aussi troublées par la guerre qu’Orkandia, et encore moins dans des endroits aussi belliqueux que l’Anok ou l’Alwinion sans acquérir une certaine connaissance de la guerre et, entre autres qualités, Nacromia est un homme intelligent. Il connaît beaucoup de monde et à vu bien des choses, et ses avis sont toujours appréciés au Conseil d’Anok ou même par Ellianne elle-même, à supposer bien sûr qu’un avis puisse avoir une influence sur la jeune Impératrice.

    Parfaitement intégré à la société alwinionaise comme il s’était fondu dans celle de la première Anok, il a si bien apprit leurs usages qu’il est devenu Banneret de la Clairière du Soleil et de la Lune lorsque la nouvelle Anok fût fondue sur le modèle proposé par l’Empire, histoire de donner l’exemple. La charge de garder et de défendre la Clairière, tant de façon physique que morale, ne lui pèse pas trop, surtout la première d‘ailleurs, mais il serait tout prêt à l‘assumer au cas où - cas peu probable puisque même les crises d‘Alwine ou d‘Ellianne sont prévues par la religion alwinionaise. Le post qui lui va le mieux est bien sur celui de chef et responsable des Bardes, Ménestrels et Artistes de la Cour Ducale et Vicomtale, et il s’acquitte plutôt bien de celui de Responsable de la Cour, et de chargé du protocole. Medar savait ce qu’il faisait et qui il plaçait à ce post important dans les esprits des habitants de la Forêt lorsqu’il l’a choisi, bien sûr, et l’Impératrice approuva aussitôt avec enthousiasme.

    Physiquement, Nacromia est un Elfe avec quelques siècles d’existence derrière lui, mais qui, comme la plupart des Elfes, paraît avoir la vingtaine. Sa peau est naturellement claire, et le temps passé dans la Forêt ne le brunit pas beaucoup. Elle s’accorde bien avec ses cheveux blancs, caractéristiques de son clan, et ses yeux d’un bleu clair, comme des perles pâles. Il porte toujours, même aujourd’hui, l’anneau au saphir à l’oreille gauche et les petites rangés de cercle de platine le long de chacune, marque qui identifiait encore un peu mieux son peuple originel, et qu’il est aujourd’hui seul à porter, puisqu’il en est le seul membre encore en vie, à sa connaissance tout du moins. Il ne reçu l’ensemble qu’au prix d’une bonne dose de souffrance car ses longues oreilles effilées sont, comme souvent chez les Elfes, dépourvues de tout lobe, ce qui complique singulièrement la pose d’une simple boucle, et le reste encore bien plus, évidemment.

    Généralement, il est vêtu dans des tons blancs lorsqu‘il est à un endroit fixe, ou d’argent et d’or lors des cérémonies et audiences officielles, en hommage au Soleil et à la Lune, comme le veux sa charge. En voyage, il change l’ensemble pour des vêtements simples et utilitaires, comme beaucoup d’anokiens de la première heures. En parlant d’anokiens de la première heure, Nacromia s’entend comme larron en foire avec les deux derniers rescapés de la fondation même de la première Anok, Grorg et Ecand. Bien que chacun soit très différents, ils ont de nombreuses affinités et se complètent assez bien, tous les trois. Entre autre, ils seraient tous prêt à faire n’importe quoi, même le plus horrible, pour « le Maître » et « l’Élue », ils ont pour Medar le même dévouement et pour Ellianne le même amour protecteur.

    Manieurs de mots, de notes et de vers, Nacromia est un élément de raffinement à la cour d’Ellianne, mais gare à ne pas le sous-estimer pour autant…

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    Message par Ellianne Jeu 21 Juil - 16:56

    Kalio :

    *Titres en Eternia : Ambassadrice de l’Empire d’Eternia au près du Grand Duché de l’Est et du Duché de Praetorius
    *Titre en Anok : Chevalières de Kaliana

    Kalio est une Fée de la Forêt des Brumes, en Alwinion, membre de la Maison Princière des Alwine et Cheftaine de Bataille de son Peuple, ce qui fait d’elle un membre assez important de la société féérique. Comme souvent, chez elle, cela s’accompagne d’une responsabilité accrue, tant dans les faits que moralement. Si l’actuelle Alwine elle-même, en bonne petite peste un peu folle, est toujours prête à passer un peu près tout, c’est Sarissa, sa sœur ainée, qui se charge de l’honneur de leur Peuple et de leur Maison, et elle est beaucoup moins coulante. Kalio a un respect immense pour la Cheftaine de Guerre, qui fût longtemps son modèle absolu dans la vie, jusqu’à ce qu’elle comprenne que leurs chemins seraient forcément divergents, et ne pas la décevoir, ainsi que ne pas entacher l’honneur des Fées d’Alwinion est quelque chose qui compte beaucoup pour elle. Cela explique en partie, avec sa nature volontaire, pourquoi elle s’implique tellement dans les tâches qu’on lui confie.

    La « jeune » femme possède un regard rouge, ce qui n’a en fait rien détonnant, car c’est un caractère fort répandu dans les Bois d‘Alwinion et plus encore parmi son propre Peuple et sa propre Maison. « Jeune » entre guillemets car, si, pour son Peuple, elle est assez jeune, elle atteint tout de même, en âge réel, près de deux siècles d‘existence. Malgré tout, on ne lui donnerait que vingt-cinq ans, à vue de nez, et cette jeunesse apparente magnifie encore sa beauté physique. Certes, c’est là une autre caractéristique répandue parmi les Fées des Brumes, mais il vaut tout de même la peine d’être rapporté. Son visage à la peau pâle possède des traits fins et délicats, encadré par des cheveux d’un blanc de neige, qui lui arrivent juste un peu plus bas que les épaules, et sont ornés d’un serre-tête noir à motif de vigne. Son uniforme militaire est bleu, blanc et noir, d‘une coupe légère et pratique et possédant de longues manches, complété par des bottes de cuir sombre, à la fois utilitaires et confortables, aussi bien adaptées à leurs forêts natales qu’aux territoires les plus accidentés.

    Bien que, on l’a dit, son propre peuple la voie comme encore fort jeune, elle a eût le temps, en toutes ses années d’existence, d’apprendre pas mal de choses. C’est surtout sur la dernière décennie que lui a été dispensé l’enseignement le plus utile généralement en Eternia : l’art de la guerre et de la diplomatie internationale. Très bonne guerrière, son arme préférée est l’épée légère, généralement utilisée en duo, une dans chaque main, et elle manie aussi très bien la dague ou l’arc. Toutefois, la majorité de sa formation à été orientée vers l’idée d’en faire un officier supérieur de l’armée alwinionaise, apte à mener des troupes au combat. Elle est assez douée en tactique, et son intelligence couplée à l’expérience qu’elle commence déjà à engranger font d’elle une bonne Cheftaine de Bataille quand le besoin s’en fait sentir. Elle a de plus reçu une formation praetorienne complémentaire, dispensée par la Comtesse Siana Elemanquia, ce qui a encore élargit ses horizons et, en plus de lui apprendre à tirer partit de toutes les expériences guerrières, lui a fournit des outils supplémentaires.

    Mais cette formation lui a aussi énormément de choses sur les Praetoriis, ce qui explique sans doutes qu’elle ait été nommée Ambassadrice Impériale au près de ceux-ci. Kalio a d’ailleurs des dons bien réels pour la diplomatie, en plus de nombreuses affinités avec les habitants de Praetorius. Elle est également mieux taillée que la plupart de ses Sœurs pour vivre longtemps hors des Brumes, sa formation loin de l’Alwinion l’a déjà confirmé, quoi qu’elle ait toujours besoin d’une certaine présence végétale. Vive et assez curieuse, elle possède déjà de bonnes compétences dans bien d’autres domaines que ceux spécifiquement cités au départ, et un autre but de son affectation, et bien qu’on ne le lui ait jamais communiqué en ces termes elle en a bien conscience tout de même, est de l’aider à mieux encore se former et se familiariser avec l’extérieur, le haut commandement alwinionais ne laissant pas grand-chose, voir rien du tout, au hasard.

    Côté sentiment, outre son profond attachement à son Peuple et à la Forêt, Kalio c’est fait deux amies proches en dehors des rangs de ses féériques Sœurs, ce qui est assez singulier dans la société alwinionaise, non par un quelconque tabou social mais par simple nature des Fées. Plus étranges encore, ces amies sont au moins aussi proche, si ce n’est plus, que la plupart de ses amies féériques, mais Kalio n’a jamais songé à s’interroger sur cela. La première de ces amies est Valéria, une autre Alwinionaise, une femme-félin des Vaérindel. Elles se connaissent depuis un bout de temps et on développé une relation de complicité parfois teinté d’un petit côté « adulte-enfant », Kalio étant un peu la grande sœur adoptive de la féline souvent exubérante voir immature, mais qu’elle adore de tout son cœur. Elle sait une partie du drame de Valéria et l’entourait intentionnellement d’affection au début, avant que cela ne devienne purement naturel, et la manie de leurs chefs de les coller toujours ensemble partout n’arrange bien sûr pas les choses le moins du monde.

    Sa seconde amie proche n’est même pas alwinionaise, elle est preaetorienne. Siana Elemanquia, leur ancienne formatrice, est devenue très proches d’elles pendant ladite formation, et Kalio est contente de l’avoir avec elle pour compléter leur trio. Du reste, les Praetorii, aussi obstinés que les dirigeants de la Forêt, désignent toujours Siana quand l’Alwinion leur colle les deux autres dans les pattes, et cette fois, avec la double ambassade placée sous sa responsabilité, cela risque de durer un petit moment. Cette amitié l’ouvre beaucoup à l’extérieur, et elle se lie plus facilement que la plupart des Fées des Brumes aux « étrangers » - mot recouvrant aussi les autres Anokiens et même les autres Alwinionais. En excluant la Damoiselle des statistiques, bien entendu, mais la Damoiselle est de toute façon un cas à part : elle se lierait d’amitié avec absolument n’importe qui.

    Pourtant, Kalio est très fidèle à Alwine, ainsi qu’à Sarissa mais aussi Ellianne, qui est sa Dame avant tout et pour qui elle massacrerait toute sa famille. Elle se méfie encore un peu de Calarenne et plus encore de Medar, mais sait reconnaître que leur doigté est raffiné et utile, aussi les respecte-t-elle. Il en va de même pour la majorité des nobles d’Anok, alwinionais ou non, sauf peut-être Grorg, le Semi-Troll, qui fût également son professeur et à qui elle rend une affection un peu bourrue qui ne peut pourtant pas être qualifié d’amitié, d’Ecand, qu’elle apprécie déjà beaucoup et de Nacromia, qui l’a charmée, comme à peu près toutes les Fées des Brumes, par ses chants et ses musiques.

    Jeune mais déjà sage, Kalio est un des éléments les plus prometteurs de tout l’Alwinion, et ses supérieurs fondent de grands espoirs sur elle, comme sur Valéria.

    Personnages importants d’Anok Neko_22-1dce971

    Kalio, en bleu, cheveux blancs, à droite.


    Valéria :

    *Titre en Anok : Chevalières de Vaérindel et Ambassadrice de l’Archiduché d’Anok au près du Grand Duché de l’Est et du Duché de Praetorius

    Valéria est membre de la Kwaené des Vaérindel. « Kwaené » peu être rendue à l’a peu près, dans la langue commune, par un mélange de « tribu », « clan », « famille » et « fratrie », mais même les sens ajoutés l’un à l’autre ne donne une idée que très imparfaite de ce que cela représente vraiment pour ceux qui en font partie. Valéria est la première des siens à mettre un pied hors des Forêts de Brumes depuis des siècles et des siècles, et cela ne c’est pas fait sans mal. Ce qu’elle endure et le poids de son fardeaux sont aussi difficile à comprendre que la notion même de Kwaené et l’expression « j’ai quitté la pierre et le foyer », à laquelle elle fait référence dans les pires moments de chagrin s’y rapporte, bien qu’en fait ce ne fût encore qu’une traduction imparfaite de la forme originelle, comme bien des choses qui viennent de la langue des Vaérindel. Toutefois, Valéria ne montre que très rarement cette blessure de cœur, telle une plaie ouverte, qui ne s’est jamais vraiment refermée.

    Physiquement, c’est une jeune femme qui ne parait pas avoir plus d’une vingtaine d’années, peut-être un peu moins même. Ce qui, comme assez souvent en Alwinion, n’est que pure apparence, car son Peuple est loin de ne différer que de par la langue Humains et d‘une bonne part ses peuples d‘Eternia, notamment du côté de la longévité. Ainsi, si elle est bel et bien considérée comme encore jeune par les siens, elle a tout de même une bonne soixantaine d’années derrière elle. L’autre particularité, parfaitement visible celle-là, ce sont ses oreilles. Des oreilles qu’elle remue souvent, et avec une facilité très simple à expliquer, en fait. C’est tout bonnement parce qu’elles sont grandes et soyeuses, perchées sur sa tête. Des oreilles semblables à celles de quelques félins, en fait, sauf qu’elles sont à l’échelle de leur charmante propriétaire.

    Charmante, elle l’est sans nuls doutes, malgré les oreilles qui pourraient éventuellement en faire reculer certains. Ses traits sont emprunts de beauté et de délicatesse, formant un doux écrins pour ses yeux rouges, une couleur qui n’a absolument rien d’inhabituelle dans les Bois d‘Alwinion, étant au contraire l‘une des plus présentes parmi les différentes peuplades qui les habitent. Son joli visage est encadré par des cheveux auburn, coupés courts, où ses attributs félins se fondent parfaitement, leurs poils supérieurs de la même couleur que sa chevelure, tandis que ceux de l‘avant sont roses. Son uniforme traditionnel, d‘une coupe répandue parmi son peuple, est lui aussi de couleur rose, agrémenté de quelques parties noires, comme sa jupe militaire ou ses protections d‘avant-bras. Il est léger, avantageant la liberté de mouvement, et agrémenté par un collier, noir lui aussi, qui est lui-même orné d‘un pendentif d‘or gravé d‘une tête de chat, à moins que ce ne fût un quelconque autre animal de même famille, chose assez difficile à dire de prime abord. L’ensemble est complété par des bottes de cuir, confortables et pratiques sur la plupart des terrains.

    Ce pendentif a bel et bien une raison d’être, et il ne représente pas vraiment un chat. Il la représente, elle. En fait, les membres de la Kwaené des Vaérindel n’ont l’apparence d’humanoïdes que quand ils le veulent, et leur maîtrise en est progressive, ce qui explique assez bien les oreilles et les crocs légèrement plus grands que ceux d’un Humain dont est doté Valéria, même si celle-ci pense maintenant les garder même plus tard, trouvant cela bien pratique. Ils peuvent adopter aussi la forme de tous les félins qu’ils ont croisés, eux-mêmes ou dans les souvenirs partagés par leurs Anciens. Mais leur vraie forme, elle, est celle d’une immense créature féline, beaucoup plus imposante qu’un simple tigre ou qu‘un quelconque autre fauve sauvage, quoi que la taille et la corpulence varient encore d’un individu à l’autre. Dans le cas de Valéria elle-même, son garrot dépasse allègrement les trois mètres, étant même plus proche des quatre, et la musculature imposante de ses pattes traduit des performances hors du commun, dans le domaine de la course, certes, mais aussi celui du saut.

    Sa fourrure a la même teinte auburn que ses cheveux, quoique plus sombre, presque noire par endroit. Une double rangée d’os tranchants affleure sur son dos, particularité propre aux siens, et ses crocs, entrevu dans sa gueule puissante, capable de broyer la pierre, sont aussi dangereux que redoutables, affûtés comme des rasoirs. Son rugissement peut être d’une puissance incroyable, et ses griffes sont capable de réduire un rocher de taille moyenne en morceau, sans parler des gens, bien sûr. On comprendra que, bien qu’elle se débrouille assez bien à la dague, Valéria n’ait jamais eût besoin d’affermir outre mesure son art du combat… sous forme humanoïde, tout du moins. Car, sous forme féline, elle c’est bel et bien entrainé une ou deux fois, avec des résultats impressionnants, et à une longue expérience de chasseresse. Elle est capable de courir très vite et très longtemps sans s’arrêter et de se contenter de quelques bouchées pour continuer.

    Elle est pourtant aussi doté d’un prodigieux appétit quand elle en a le loisir, caractéristique qui la suis dans son mode humanoïde, où elle semble avoir un don pour faire toutes sortes de choses en parlant et en restant d’une politesse exquise, sans postillonner, crachouiller, montrer la nourriture dans sa bouche ou quoi que ce soit. Elle parvient même à parler en faisant tout ça, ce qu’elle fait d’ailleurs souvent. Car Valéria est une jeune femme doté d’une bonne dose d’énergie et qui n’a pas sa langue dans sa poche. Malgré tout, si elle est très sociable de prime abord, elle a aussi beaucoup de mal à se lier plus en avant. Outre la Dame, sur qui elle a reporté beaucoup d’amour après avoir « quitté la pierre et le foyer », il n’y a que deux personnes qu’elle qualifierait vraiment « d’amie », dans le secret de son cœur, quoique certains autres lui soient assez proche, comme Grorg, un ancien instructeur, Ecand, devenu depuis peu son amant ou Nacromia, le barde si charmant.

    Ces deux amies si chères, ce sont Kalio et Siana. La première lui fût collée lors de leur formation, et la seconde fini ladite formation. Un lien très fort l’unit à la Fée, qui est pour elle comme une grande sœur, et à Siana, qu’elle appellerait sœur tout court si on le lui demandait. En dehors d’Ellianne, il n’y a personne à qui elle tient plus ou pour qui elle ne ferait plus de chose, et, à vrai dire, leur faire du mal à porté de ses griffes et de ses crocs est une entreprise à haut risque. Elle a récemment été nommée Ambassadrice d’Alwinion au près des Praetorii, pour tout un tas de raison, qui vont de la douleur que lui cause maintenant le fait d’être proche des siens à son séjour parmi eux en passant par sa capacité innée au dialogue et l’envie de lui donner quelque chose à faire pour se former et se défouler. Cette mission la rend d’autant plus heureuse que, en plus de servir sa Dame - ce qu’elle pourrait aussi faire à la bataille, elle en a les compétences - elle semble devoir se retrouver près de ses deux chères amies.

    Malgré les blessures de son passé, Alwine est un des éléments les plus prometteurs de l’Alwinion, et le Conseil des Brumes forme de grands espoirs sur elle au même titre que sur Kalio…

    Personnages importants d’Anok Neko_22-1dce971

    Valéria, en rose, cheveux auburn, à gauche.

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    Une Vaérindel aux poils noir.

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